Bonsoir @Paparazzo

« Et soudainement, on découvre que le Qatar est la pierre d’achoppement, la racine commune, de tous les scandales de corruption qui secouent actuellement l’Union Européenne et syngulièrement le groupe des »socio-démocrates« au parlement européen. »

Hi, hi, ...

N’exagérons rien ! Il suffit de se promener une journée, ou même une soirée, dans le quartier Schumann à Bruxelles pour commencer à se faire une petite idée de l’ampleur du lobbying qui s’y pratique quotidiennement, au vu et au su de toutes et tous. Qu’elle vise des représentants des syndicats, des parlementaires €uropéens ou bien plus simplement, efficacement et basiquement les fonctionnaires €uropéens chargés d’établir des dossiers en les leur fournissant « clefs en main », la corruption est un des piliers essentiels au bon fonctionnement des institutions €uropéennes et, au regard de ses moyens, il serait quelque peu regrettable que seul le Qatar manque au rang des généreux contributeurs.

Quant aux $ociaux-démocrates €uropéens, depuis leur historique retournement de veste pour les sirènes du néo-libéralisme au début des annnées ’80 et leur toute aussi historique trahison des classes populaires, ils ne font jamais que s’inscrire dans les voies et traditions déjà tracées par leurs homologues nationaux dont, pour prix de leur figuration à la grande mascarade « démocratique », l’unique fonction résiduelle consiste en Pensée Unique à « en croquer ».

Bref, on ne prête qu’aux riches et tant le Qatar que les parlementaires sociaux-démocrates figurent sans surprise au rang des coupables idéaux, mais cette bien soudaine et fort opportune dénonciation de leurs turpitudes m’évoque un peu trop furieusement la vertueuse agitation d’une muleta médiatico-€urocrate survenant merveilleusement à point pour détourner l’attention de l’opinion publique de 3 ans d’orchestration aux plus hauts niveaux de l’hystérie « covido-vaxxxinale », ses confinements, ses passes sanitaires et ses milliards d’€uros d’argent public « sucrés » aux seuls bénéfices de quelques grands philanthropes, en l’occurrence fort opportunément actionnaires de Big Pharma !   

Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations !