Je connais parfaitement le problème. Ayant travaillé sur ce qu’on appelle l’enseignement dit spécialisé de type un : les psychotique profonds, dont l’est autistes (dans ce cas on rapproche des ateliers protégés pour tenter d’arriver à les occuper), le type 2 plus rattrapable mais malgré tout impossible de les intégrer dans un enseignement classique. Le type 3 où, j’ai travaillé : les caractériels (certains avaient tendance à bouter le feu à n’importe quoi..), je ne me rappelle plus les orientations du type ’, cinq, six et sept. Mais le huitième (toujours le chiffre huit : Thoth HERMES : ce qui est en haut est comme ce qui est en bas : Dieu du verbe) : les dyslexiques. Par contre je me rappelle une expérience qui a été menée dans une classe.classique. Les élèves avaient une feuille de dessin et étaient amenés à dessiner ce qu’il leur passait par la tête. Classe de 15 élèves. L’expérience consista à tenter de rajouter un handicapé. Les dessins étaient plutôt agréables et joyeux. On amena un second hadicapé. Et là tout bascula : les dessins devinrent agressifs, belliqueux... Vous en tirez les avis que vous voulez . Bon, j’ai vérifié : le type 4 concerne les débiles plus ou moins profonds. L’enseignement de type 5 est destiné aux enfants malades ou convalescents, suite à une affection corporelle (cancer, mucoviscidose…) et/ou un trouble psychique grave (anorexie, boulimie, phobies, tentatives de suicide,…) réclamant un suivi psychiatrique. type 6 : déficience visuelle et le type sept : déficience auditive. Ces personnes recevant un enseignement hyper spécialise par du personnel compétent. C’est uniquement pour une question financière que ce type d’enseignement a été délaissé par le pouvoir public. Oui, mais des psys, des logopèdes, des éducateurs, cela coûte cher. alors, c’est jeunes finissent souvent SDF ou parqué loin du regards....