L’urgence climatique n’existe que dans l’imaginaire de
militants absolument lobotomisés par une secte de fanatiques de la décroissance,
qui met tout en œuvre pour aboutir à ses fins. S’imaginer que la lutte contre
les rejets CO2 anthropiques permettra de contrer le réchauffement est une chimère.
La responsabilité
unique du CO2 fossile dans le process du réchauffement, argument
« matraqué » par ONG associations climatiques via les médias,
n’est établie que par une volonté politique, organisée depuis 1988 par le Giec,
sous tutelle de l’ONU.
Ne voir comme
responsable du réchauffement que l’action hypothétique du CO2 anthropique dans
l’atmosphère n’est pas responsable et scientifiquement parlant, à la limite de
l’imposture.
« Benjamin Pohl, climatologue, chercheur
au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), membre du Centre de
recherches de climatologie, n’a aucun doute là-dessus. « Si nous le
constatons depuis les années 1950, avec des irrégularités dans le temps, depuis
dix à vingt ans, il augmente. Il n’est
pas uniquement dû aux activités humaines (perturbations liées aux émissions de CO2,
de méthane, etc.), mais aussi à une variabilité naturelle. » https://www.bienpublic.com/environnement/2020/06/05/le-rechauffement-s-accelere?fbclid=IwA
En ce qui concerne le
CO2, lorsqu’on consulte la littérature scientifique disponible sur le net, y
compris les SPM du Giec, traitant les problèmes
climatiques et CO2, on trouve tout et n’importe quoi.
Les process de réabsorption par les puits de
CO2, les échanges entre la terre et l’atmosphère sont connus mais les chiffres
donnés ne sont que des calculs purement théoriques ou volontairement ajustés.
Les valeurs de latence du CO2 relevées dans les publications scientifiques
varient de 1 an à 100 ans.
L’observatoire de
Mauna Loa est connu pour ses mesures sur le CO2, qui sont effectuées à
l’altitude de 3400 m. Les résultats présentés par la NOAA proviennent
principalement de cet observatoire. Il est situé aux États-Unis, dans le
sud-ouest de l’île d’Hawaï (Big Island), la plus grande de l’archipel et État
d’Hawai. Est-ce représentatif de l’ensemble de la troposphère ? Non, ce n’est
qu’une convention. https://www.esrl.noaa.gov/gmd/ccgg/trends/
Au sujet du CO2 ,Il faut savoir que dans les
415 ppm (0.0415%) de CO2 présents dans l’atmosphère, la part de CO2
origine fossiles anthropique est de 5 à
6 %, l’essentiel des rejets soit 94 % , résultant de la nature ;
dégazage de la zone tropicale océanique, faune, flore et volcanisme. voir
analyse de Camille Veyres et Jacques-Marie
Moranne, auteur du Livre « la Physique du Climat ». https://youtu.be/PFk34YrmUBQ
Quelles sont les
références d’études sérieuses et continues avant 1960 sur le CO2 et les gaz à
effets de serre ? Les premières mesures CO2 datent de 1958.La théorie des gaz à
effet de serre, retenue par le GIEC, est dérivée de celle étudiée par Joseph
Fourier puis Svante Arrhenius fin du 19
siècle, mais remise en cause par d’autres chercheurs ; Critiquée début 20
siècle par Anders Jonas Angstrom, souvent remise en question parmi bien
des scientifiques dont Robert William Wood qui en démontra en 1909 le caractère
erroné de l’explication ,elle a été abandonnée pendant 60 ans, puis remise au
gout du jour par Bert Bolin dans les années 1970. Hors Bert Bolin était un des
premiers scientifiques…… membre directeur du GIEC.
Depuis l’adoption en
1992 de la Convention climat de l’ONU, les émissions mondiales de CO2 ont
augmenté de 58 %, malgré une diminution
de 21 % dans l’UE, dont une grande partie est due à la chute des économies
socialistes en Europe de l’Est. La
France qui émet 0,9 % des émissions mondiales de CO2 grâce entre autre à
son grand parc de centrales nucléaires veut montrer l’exemple au
monde…Entretemps, le Vietnam, le Bangladesh, l’Inde et la Chine ont augmenté
leurs émissions de CO2 respectivement de 1157 %, 709 %, 311 % et 305 %. Entre
2018 et 2019, la Chine a augmenté ses émissions de CO2 de 319 millions de
tonnes tandis que la France en 2019 en a émis 299 millions de tonnes. http://globalcarbonatlas.org/en/CO2-emissions