Résumé du commentaire :  ?

Bonjour Sapiens et commentateurs bien aimés [non ça n’est pas ironique, je souhaite une bonne et heureuse année à tous, à toutes, aux inutiles, aux grognons, aux cons, aux provocateurs, aux gilets jaunes, aux gauchos, au droitards, aux savants bac + 15, aux poètes, aux scribouilleurs, etc. heu, aux souverainistes un peu plus sachant que je suis moi-même (le) con (de quelqu’un d’autre, toujours), inutile et autre, à ma mesure.]

De mère catho. et de père agnostique (mais chercheur de vérité disait-il), j’ai été au « cathé » tout en héritant par le paternel de la culture du doute quant à la capacité qu’a l’homme à appréhender des choses indicibles et qui le dépassent infiniment.

Bref je garde deux souvenirs principaux du cathé :

1. l’apprentissage de chansons insipides accompagnées à la guitare comme celle du film La vie est un long fleuve tranquille je crois, à la limite du ridicule voire de l’écœurant (lorsqu’écoutée par l’adulte).
2. Un moment , juste avant le sommeil, lors d’une retraite avec nuitée à l’âge de peut-être 12 ans, d’appréhension intérieure d’un amour infini, étalé à toute la terre, en fait, avant tout : Existant ; à ma portée et j’en déduisais à portée d’autrui ; reçu et susceptible d’être transmis. De longues minutes à chialer de bonheur de savoir...
   

Actuellement, avec d’autres réflexions bien sûr, je ne sais que penser du cathé., d’où le «  ? » initial. Je le sais dangereux à cause de pédophilie, d’endoctrinement à la religion, qui, vécue comme une chapelle, c’est le cas de le dire, est le fameux opium du peuple parmi d’autres, et même plus : le modèle de l’opium que sont aussi des partis, des cultures, des cultures d’entreprises, des idéologies -dont le transhumanisme et le PCC sont l’exemple de l’usurpation du spirituel- etc.

Et enfin, je le crois aussi, simultanément, garde-fou contre ce qui est devenu, pire qu’un parti, plus prégnant qu’une idéologie, le matérialisme grossier dans lequel se vautre avec toujours plus de délectation notre pauvre humanité, réduite aux corps, à la consommation à tout prix. Triste truie.

Cordialement. Avec joie et bonheur, je rappelle.