@Le cri des Peuples.

Bonjour, 

Je suis très loin d’être un stratège militaire et ce qui est rapporté partout aujourd’hui à propos de ce conflit, me semble par trop emprunt de « Poutinophilie » ou « Poutinophobie »...

Pour beaucoup l’armée Russe, reste celle qui à bouté à grand frais d’hommes les allemands, suivie ensuite des escalades bien connues entre les deux grands « vainqueurs », l’état de « haine » étant toujours d’actualité entre eux, sans que l’ont ne sache véritablement pourquoi..... Hégémonie quant tu nous tient.

Bref, ce conflit, dont les fondements sont troubles et discutables, oppose deux Pays, pour simplifier le premier cherchant à conserver ses terres et de fait plus hargneux, pugnace et l’autre cherchant à « aider ».

Cette différence créé je pense une forte différence de motivation, dans les deux camps, qui peut être interprétable à souhait. Après un conflit est toujours constitué de succès et de déconvenues de part et d’autre.

Les succès de l’un sont toujours fêtés comme de grandes victoires, les déconvenues de l’autre, comme des défaillances profondes. L’Ukraine est quand même en conflit avec elle même depuis presque 10 ans, ne l’oublions pas.

Ce qui démontre une certaine instabilité de sa constitution initiale. Il est clair qu’une « province » représentant la majorité des ressources d’un Pays veut faire sécession, cela pose des problèmes. 

Hélas une chose est sûre, la Russie ne peut perdre la face, et l’Ukraine non plus (en fait le concept OTAN, car se livre véritablement un conflit Est-Ouest, plus qu’autre chose).

Quid du peuple local ? Tout le monde s’en fout en fait, ne voyant que la lutte du bien contre le mal, Peuple « massacré » (un peu d’exagération ne fait de mal), par cette lutte fratricide.

Je pense que si le même acharnement que les sanctions avait été mis en oeuvre, pour la résolution du conflit dès son origine ou plutôt quant il commençait à prendre forme, l’affaire n’aurait pas été si loin. Maintenant il est trop tard je pense, pour trouver une solution digne pour chacune des parties.

Cela va s’éterniser, s’enliser progressivement, comme certains autres conflits par le passé, devenir un sujet commun, faisant l’objet par moment au gré du sensationnalisme un encart médiatique. La fière Europe avec son train de sanctions inconséquentes ayant beaucoup plus de chose à gérer dans son territoire, que le sort de l’Ukraine, mais si ce conflit sert pour l’instant ses intérêts.