@Francis, agnotologue

Des chercheurs et des scientifiques courageux sont parvenus, malgré tout (malgré toutes les réticences) à faire publier des articles au contenu scientifique rigoureux réalisant des mises en perspective, pour le covid19, entre maladie « virale » et maladie « toxique ». 

Une conclusion de l’une de ces études : « Les causes sous-jacentes de la pandémie actuelle ont été à la fois déformées et camouflées. Les causes qui sont principalement basées sur la toxicologie ont été ignorées par rapport aux causes basées sur la virologie.
Cela a abouti à des traitements et à des mesures « protectrices » qui traitent les problèmes de virologie à l’exclusion des problèmes de toxicologie, sont d’une efficacité douteuse et font peu (voire rien) pour prévenir de futures pandémies.
Ils ont produit des effets désastreux sur l’économie mondiale qui ont aggravé les conditions sociales et économiques de nombreuses personnes et contribué à une détérioration de leur santé physique et mentale.
Pour corriger cette situation et offrir une protection intrinsèque contre de futures pandémies, des réponses tactiques/réactives pour survivre à la menace immédiate et des réponses stratégiques/proactives pour empêcher que le problème et les dommages ne se reproduisent sont nécessaires. »

Deux ou trois informations complémentaires :
... « Nous vivons dans une « mer » de virus connue sous le nom de virome humain ( Lecuit et Eloit, 2013 ). Les virus font partie intégrante de la vie elle-même  ; ils sont le moyen naturel d’assurer « la survie du plus apte ». Ils sondent constamment les défenses du système immunitaire de l’organisme. Si le système immunitaire est sain, les virus sont neutralisés. Si le système immunitaire est dégradé/dysfonctionnel, des virus pathogènes peuvent envahir les cellules, se répliquer et déclencher une chaîne d’événements conduisant à une maladie infectieuse à manifestation clinique. »...
... « La pandémie actuelle de COVID-19, la pandémie de SRAS de 2002-2003 et les pandémies annuelles de grippe partagent de solides points communs. Une petite fraction de ceux qui sont exposés aux virus respectifs deviennent symptomatiques  ; puis, une petite fraction de ceux qui sont symptomatiques succombent.
La plupart de ces décès par maladies infectieuses sont dus à la pneumonie et au syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). »...