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Commentaire de PascalDemoriane

sur La stérilisation humaine à l'épreuve de la clause de conscience


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PascalDemoriane 5 février 2022 18:54

Quand on prononce le mot éthique, ou pire, bio-éthique, on sait qu’une saloperie ne va pas tarder à se faire jour, que le culte de la pulsion de mort va être glorifié et rendu.

Dans cet article comme dans bien d’autre, sous prétexte euphémisant de cas de conscience bidon, on sent tellement que la cause prétendument sous-pesée est déjà entendue, préjugée, emballée :
en gros « Mon corps m’appartient, ma subjectivité égoïque est donc opposable à la communauté dont je suis le créancier a priori ! Si je suis ce que je suis, sexué et fécond, la société m’en doit réparation ! A gogo, si je veux quand je veux ». Voilà le postulat caché mais induit.

Mais Madame, vous êtes non seulement complètement dingue mais en plus sournoisement virulente et contagieuse ! Bien dans l’air du temps ! Et vous le savez parfaitement !

Désolé Madame de vous savoir vivante à regret ou en état de doute sur cet état contagieux, mais le principe même du vivant est d’être par essence reproducteur du processus qui l’anime. Bon. Vous voulez en faire une maladie pour alimenter je ne sais quel commerce lucratif. Ou plutôt si, on le sait trop bien ! Celui de ceux qui vous missionne pour semer le doute, ramener des clients. Pour faire payer à leur profit, sans consentement, à ceux qui lutte pour juste survivre (même pas vivre) en cotisant pour la santé, le luxe de stériliser gratuitement les oisifs qui voudraient jouir sans entrave pour eux-mêmes.

Ben non, moi j’ai pas les moyens de payer pour eux. La dignité humaine, masculine d’abord, s’est de savoir s’empêcher quand c’est pas le moment. On sait faire sans médecine !
Bioéthique ? mon cul !


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