@Jean Dugenêt
Et moi je ne supporte pas vos délires, car les âneries c’est bien vous qui les écrivez. Arrêtez vos amalgames
qui sont des insultes dignes d’un gamin, et, vos falsifications historiques.
Notamment au sujet de la Syrie vous écrivez "En Syrie alors qu’ils étaient entrés dans leur politique de
désengagement (depuis grosso-modo l’élection d’Obama) ils (NDR :les USA) ont aidés
Bachar el Assad à écraser la révolution syrienne en le laissant
massacrer largement au delà des seules forces mobilisées" !!!!!!!! Je vous renvoi aux documents suivants :
— Lettre ouverte aux charlatans de la révolution syrienne, par Bruno Guigue https://arretsurinfo.ch/lettre-ouverte-aux-charlatans-de-la-revolution-syrienne-par-bruno-guigue/
— La « révolution » syrienne qui n’existait pas…,par Stephen Gowans https://arretsurinfo.ch/la-revolution-syrienne-qui-nexistait-pas/
— Le livre de Stephen Gowans : La longue guerre de Washington contre la Syrie
Paru le : 01/11/2019.
Dans la guerre des États-Unis contre la Syrie, les
représentants de l’élite du pouvoir capitaliste américain, les
fonctionnaires de niveau ministériel liés à Wall Street, les hauts
fonctionnaires et les membres des groupes de réflexion les plus
prestigieux des États-Unis ont passé une alliance de circonstance avec
les ennemis islamistes du gouvernement syrien pour faire tomber un
gouvernement du Parti Baas arabe socialiste, qui était « un foyer de
lutte nationaliste arabe contre la présence régionale et les intérêts
américains ».
Washington avait déjà fait de même contre deux
autres foyers de lutte nationaliste arabe : le gouvernement de Saddam
Hussein en Irak et le gouvernement de Mouammar Kadhafi en Libye.
Les
trois campagnes ne représentaient qu’autant d’étapes d’une guerre plus
vaste destinée à recoloniser efficacement la planète en intégrant les
derniers champions arabes de l’émancipation anticoloniale dans un ordre
mondial sous commandement américain, dans lequel les intérêts de Wall
Street auraient la primauté.