@olivier cabanel
La cabane ne sera pas au fond du jardin ! L’internement arbitraire, inspiré de la psychiatrie, est ajouté au projet de loi de pass vaccinal.
Bougez-vous, ça craint, interpellez vos Députés pour qu’ils votent contre et qu’ils organisent une motion de censure !
Ensuite, il sera inutile de pleurnicher.
"Mise en quarantaine, placement à l’isolement (12 heures à 48
heures) ou en contention (6 heures à 24 heures), ce sont les préfets qui
en décident. Le directeur de l’établissement saisit le juge
des libertés et de la détention, s’il juge nécessaire le renouvellement
de la mesure au‑delà de ces durées. Pas avant. La Constitution prévoit «
le plus court délai possible », un flou artistique favorable
aux internements arbitraires.
Dans un délai de 48 heures à compter de la
mainlevée de la mesure d’internement par le juge des libertés, s’il y a
des éléments nouveaux, retour à la case départ (isolement ou contention).
Sans délai, le directeur de l’établissement informe ensuite le juge des
libertés et de la détention, qui peut mettre fin à la nouvelle mesure
ou bien donner son accord. Si le juge est d’avis de maintenir les
placements deux fois, le médecin peut les renouveler une troisième fois,
puis en avertir le juge dans un délai de 6 jours et demi, ainsi que la
famille (qui a perdu l’espoir de retrouver leur parent disparu depuis
une semaine)… etc