@pemile
 
C’est simplement une bien belle « supposition ». Ceci n’est pas une étude scientifique sur le fonctionnement de l’injection expérimentale. Pas du tout. 

Extrait de l’étude : « Nous avons administré un pseudovirus exprimant la protéine S (Pseu-Spike) à des hamsters syriens par voie intratrachéale »…

« Bien que l’utilisation d’un pseudovirus non infectieux soit une limitation à cette étude, nos données révèlent que la protéine S seule peut endommager l’endothélium, se manifestant par une fonction mitochondriale altérée et une activité eNOS mais une glycolyse accrue. Il semble que la protéine S dans les EC augmente le stress redox, ce qui peut conduire à la désactivation de l’AMPK, à la régulation à la hausse de MDM2 et finalement à la déstabilisation de l’ACE2.4 Bien que ces résultats doivent être confirmés avec le virus SARS-CoV-2 dans la future étude, il semble paradoxal que La réduction de l’ACE2 par la protéine S diminuerait l’infectivité du virus, protégeant ainsi l’endothélium. Cependant, un système rénine-angiotensine dérégulé en raison d’une réduction de l’ECA2 peut exacerber le dysfonctionnement endothélial, conduisant à une endothéliite. Collectivement, nos résultats suggèrent que les dommages EC exercés par la protéine S prévalent sur la diminution de l’infectivité du virus. Cette conclusion suggère que l’anticorps généré par la vaccination et / ou l’anticorps exogène contre la protéine S protège non seulement l’hôte de l’infectivité du SARS-CoV-2 mais inhibe également les lésions endothéliales imposées par la protéine S.

Comment peut-on tromper les gens ? Comme vous le faites pemile. Cette étude n’apporte la preuve de rien du tout ! Et, en tous les cas, pas de la manière dont l’injection expérimentale fonctionne chez l’être humain. Ceci n’a pas été étudié ! Cette étude a été mise en place chez des hamsters en utilisant un pseudo virus non infectieux ! pemile, ce n’est pas bien de mentir ! 

Vous êtes pris la main dans le sac du mensonge ! 

Menteur un jour, menteur toujours pemile ? 

Cela fait un bon bout de temps que je signale que des chercheurs ont établi que le SARS-COV2 pénétrait dans l’organisme par le biais des récepteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine II. Cela fait un bon moment que je signale que les chercheurs ont déterminé que le SARS-COV2 provoquait une »endothélite« . Cela fait donc un bon moment que les personnes à risque sont bien identifiées. 

Cela fait un bon moment aussi que l’on sait que les attaques du SARS-COV2 se soignent comme une pneumonie à l’aide d’antibiotiques de type macrolide. Les moyens d’action contre le SARS-CVO2 existent. Mais »on« les ignore pour proposer une »injection expérimentale" !