Enfoncer le clou.
Les uns, préoccupés non sans raisons par l’énergie, tablent pour sauver le monde sur des alternatives moins innovantes qu’ils le croient, d’autres se battent sur le front de la santé, pour
tenter de maîtriser et enrayer des fléaux dont la propagation
menace l’humanité bien au-delà de leurs foyers d’origine, d’autres encore ont pour préoccupation
le réchauffement climatique et observent la fonte des pôles et la
montée des eaux, en faisant le compte des territoires menacés de
disparition et des populations concernées, d’autres font
l’inventaire de nos ressources alimentaires, en prévisions de
grandes famines annoncées ici et là, ... Autant de démarches,
parmi tant d’autres, revendiquant l’appartenance à une écologie intelligente et dont la sincérité n’a pas à être mise en
cause mais qui, toutes, contribuent à masquer l’essentiel, à la
manière de ces arbres qui cachent la forêt ou pire, de ces
politiciens, médecins à la vue basse et à l’esprit borné, qui
traitent des symptômes sans se préoccuper de la maladie. Car la
maladie c’est une croissance démographique dont hélas cet article ne fait pas
davantage que bien d’autres la moindre mention.
Pendant ce temps là, la marée humaine monte inexorablement, en
attendant une hypothétique transition démographique au niveau
mondial, alors que sont encore nombreux ceux qui ne surveillent que
les indicateurs concernant la région du globe dans laquelle ils se
situent, quand ce n’est pas, plus limitativement encore, leur pays.
C’est pourtant sur le nombre de ses représentants que l’humanité
doit agir d’urgence, pour repousser aux limites du possible
l’échéance inéluctable qu’elle redoute à juste titre.
Pour approfondir cette réaction
: http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com