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Commentaire de Alpha&Omega

sur La corrida, ou l'art de la torture jouissive


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Alpha&Omega 24 novembre 2012 15:22

C’est bien pire que cela, hélas... On ne « fatigue » pas le taureau, on le mutile. C’est le rôle du « picador » qui avec sa pique sectionne les tendons du cou de l’animal. Ceci est fait pour que la bête ne puisse charger en balançant sa tête cornée de droite à gauche, impliquant, comme vous le dites, que la « danseuse ridicule » n’aurait aucune chance face à ce magnifique animal.
A gerber, cette manie du « transfert » pour assouvir ses bas instincts, au travers d’une bravoure maquillée et d’une sanglante souffrance, elle, bien réelle.
Merci pour votre remarque. Bon WE.


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