Tout à fait d’accord avec vous !
En fait, le problème de la
violence, avant d’être judiciaire est souvent psychiatrique :
des gens « équilibrés » peuvent avoir des
conflits, mais les évènements deviennent surtout
vraiment graves quand l’un des deux est, par exemple, paranoïaque,
ou ce qui est encore plus fréquent, prend des médicaments
antidépresseurs (Prozac) qui le rendent agressif : c’est le
cas de millions d’hommes et de femmes (!) en France !
Il y a quelques années, sans raison apparente, ni dispute, mon
ex-épouse m’a soudain
sauté dessus avec la ferme détermination de me planter
un couteau de cuisine.
Je l’ai désarmée, appelé
la police, elle a reconnu les faits, mais voyant qu’elle était
calmée, ils sont repartis et ma plainte a été
classée sans suite.
Dans une situation inverse, ils
m’auraient emmené au poste, menottes aux poignets !
Arte a repassé il y a qq jours
l’excellent film « L’Enfer », sur le sujet de la paranoïa,
avec de magnifiques acteurs . Il se termine malheureusement en "queue
de poisson".
Notre République n’a bien
évidemment pas les moyens d’offrir des logements pour les
hommes ou femmes en détresse ou en cours de séparation
!
Le combat des féministes ne sera
efficace que lorsqu’elles se décideront enfin
à tenir un discours beaucoup
plus équilibré !
Les femmes sont très supérieures
aux hommes sur le plan du langage et les hommes n’en viennent souvent
à la violence physique que parce qu’ils sont à court
d’arguments verbaux.
Le conseil devrait donc être que
les hommes et les femmes qui ne vont pas bien, et deviennent
agressifs en paroles et en acte, n’hésitent pas à
consulter leur médecin. Mais la psychiatrie française
va, elle aussi, très mal, en nombre de médecins et de
moyens...