à Rage
rien n’arrêtera la cupidité profonde d’une minorité
qui définie le système.
La
mécanique est trop forte, les contre-pouvoirs trop minces, les
défis à relever trop importants.
Il ne
s’agit pas de résignation, mais de lucidité : en l’état
actuel des choses, ce que certains dénomment comme étant
la crise ne sera qu’une occasion ratée de changer radicalement
de cap avant qu’il ne soit trop tard. Le syndrôme du Titanic :
c’est bien de cela dont il s’agit.
à Walden
(xxx.xxx.xxx.106)
6 août 11:27
Mais il n’y a aucune
mièvrerie à rappeler fort justement qu’il s’agirait désormais de
rejeter les valeurs négatives de la compétition et de l’accumulation du
gain pour leur substituer celles, plus humaines, de solidarité et de
sobriété (=> quitte à l’imposer aux plus réticents, en l’occurrence
les puissants). Sans quoi, effectivement, il est permis de ne pas être
optimiste (euphémisme).
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Rage & Walden, conviendriez-vous, avec moi, que le temps est venu de tenter d’établir une réelle compatibilité entre compétitivité et cohésion sociale ; entre compétitivité et solidarité. ?
Si vous voulez changer les choses :
Le Parti Capitaliste Français (PCF) et l’Allocation Universelle
http://www.agoravox.fr/actualites/e...
N.B. 1 :
Je ne prétends pas que ce sera facile et rapide.
N.B. 2 :
À ceux qui ont déjà vu mon commentaire, je présente mes excuses : je suis monomaniaque ! ! !