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Commentaire de JbfromUAE

sur Frégates de Taïwan : l'affaire qui n'aurait jamais dû exister !


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JbfromUAE JbfromUAE 16 août 2007 20:24

voila ce que j ai envoyé et c’est anacien ! mais sera pas publié ya de tout à revoir !!!

Cela fait bien longtemps que je passe de temps en temps pour confirmer ce que nous avions à deux ex banquiers expliqué à Denis Robert venu ici se vendre.

En effet il y risque de Krach dis je depuis longtemps !

Les sub primes ne sont qu’un prétexte !

La crise est ailleures et bien financière ...

Les US font couler l’immobilier bas de gamme et les asiatiques lancent des raids à coups de milliards.

S’ils utilisent les produits dérivés dont la SG s’est fait le leader il y aura du sang sur les plafonds et persone pour lever la tête !

je peux revoir ce mail que Denis devait exploiter et le remettre à jour :

Enfin un peu de temps pour répondre à la question que tu devrais te poser sur ce qu’il faut appeler les « Futures ». Sans comprendre cela on ne peut pas se permettre de jouer aux spécialistes ni s’en faire un fond de commerce à moins de tricher ou de chercher à couler du beau monde... en devenant une sorte de prédateur sosu une fausse image de Tintin.

C’est aussi la technique utilisée pour provisionner le fric à blanchir dans les commissions de l armenent, avce le GIAT et ses chars Leclerc qui ont coûté aux français plus de 10 milliards de FF et avec feu Thomson qui en a détourné tout autant aves ses frégates furtives vendues à Taiwan, l Arabie Saoudite et Singapour.

Du crime financier au meurtre car il semblerait bien que l’ on tue pour cela aussi...

Il faut te dire que pour bien planquer tout ce fric mal, gagné, volé escroqué, ce que ce que tu cherches n’est pas matérialisé et que ce que l’on cache au Lux dans des comptes non publiés c’est des écritures comptables qui n’ont aucune justification économique et dont seules les différences entre achats et ventes de n’importe quoi ( du fric, des titres. des commodities, du vent parfois) sont extériorisées et virées via Swift.

Cela est très recherché par le monde criminel du terrorisme et de la corruption qui se ressemble et qui s’assemble.

Ce marché est tellement important et si particulièrement rentable que les banques n’y résistent pas comme SG qui :

gère en off shore les « actifs » souvent virtuels, toujours illégaux de leur « private banking » souvent pas clair

Qu’en termes élégants ses choses la sont dites ! mais c’est du recel et du vol : voila pourquoi .....

La criminalité financière.

En profitant de la globalisation de l’économie le crime organisé se mêle intimement au monde bancaire incapable de refuser monnaie sale.

Une complicité secrète inavouée s’installe entre ces deux royaumes, ces deux cartels dont les différences s’amenuisent de plus en plus.

Ces deux mondes ont en commun l’appât du gain rapide, la corruption endémique, l’utilisation de la menace, et le soucis de « débiliter » les volontés des masses.

- Ces deux mondes ont tous les deux une organisation économique financière de type capitaliste structurée selon les mêmes paramètres le même but qui est de maximaliser le profit avec un contrôle vertical de productivité.

- La hiérarchie de ces deux mondes est militaire.

- La violence est la même soumise à la volonté d’accumulation monétaire pour la domination territoriale et la conquête des marchés.

Dans les deux camps il faut obéir aveuglément et ne pas résister comme on m’en faisait le reproche en provoquant mon départ.

On respecte aussi la parenté clanique et la structure ethnique. Seuls rentrent dans le moule ceux qui en ont l’esprit et c’est ainsi que tous les cadres financiers et les gangs d’un même groupe se ressemblent et pensent pareil.

La combinaison de ces trois mode d’organisation : capitaliste, militaire, clanique caractérise les cartels criminels et financiers qui deviennent ainsi similaires et impénétrables aux enquêtes externes.

Ces deux mondes qui finissent par se mêler ne craignent ni les sanctions judiciaires ni les commissions de contrôle. Ils agissent dans une liberté quasi totale en traversant de leur fric mal gagné souvent, les cyberfrontières de la planète sans aucun obstacle. Ils trichent à la vitesse de la lumière sur le marché du comptant au jour le jour puis sur celui du terme plus dangereux encore car spéculatif.

C’est le même rêve pour un banquier et un truand d’avoir cette vitesses d’accumulation doublée d’une fabuleuse liberté dans une totale absence de transparence pour des profits sans taxes.

Mais le plus grand point commun est l’économie virtuelle que leurs magouilles engendrent et multiplient.

L’argent n’exprime plus la valeur des choses et ne sert plus uniquement comme moyen de paiement des marchandises. Des somme astronomiques qui ne correspondent plus à rien de productif circulent sans assurer des gains de productivité ni à assurer une augmentation des véritables richesses économiques.

Avec le progrès des télécom les capitaux virtuels sans justification de création de richesse réelle se montent à plus de 1 000 MILLIARDS DE $ par jour ! sans aucune vérification ni taxe.

Si bien que les profits réalisés dans ces opérations doivent être pris au détriment de l’économie productrice provoquant un appauvrissement de l’économie réelle et un véritable vol totalement impuni et commis par nos plus grandes banques.

Cela convient particulièrement bien aux capitaux occultes qui peuvent se blanchir ainsi bien facilement.

La faute revient aux produits financiers dérivés qui représentent plus de 2 000 milliards de $ !

Tout peut faire l’objet de spéculation dans les produits dérivés : du pétrole, du blé, du fric etc. même d’autres contrats de produits dérivés...

Il est vrai que la place financière de Londres est pratique pour comptabiliser ces opérations que les autorités surveillent sans rien dire il est vrai. Mais à la différence de la France les autorités monétaires suivent de prés les combines et connaissent nos propres turpitudes en sachant par exemple que l’animation artificielle de notre MATIF en faillite vient de Londres. Ils nous coincent quand ils veulent et M Montebourg avec

Comment fait on ?

C’est simple on convient par contrat ferme l’achat à une date fixe mais ultérieure d’une quantité de fric (par exemple) à une échéance parfois lointaine à un cours déjà fixe sachant qu’il va évoluer (c’est le change a terme parfaitement sain si on couvre un risque quand on doit recevoir une devise étrangère) ceci est hors bilan

On peut attendre l’échéance et si le cours a augmenté on revend immédiatement le bien acheté moins cher à terme et on prend la différence sans recevoir le capital ou le bien :

On peut aussi avant l’échéance acheter pour cette même échéance quand le cours est favorable n importe quand avant.

A l’échéance les capitaux ou les biens ; titres ; etc. vendus et achetés se compensent et seule la différence est gagnée ou perdue si les cours ne vont pas dans le sens prévu.

Mais il y a toujours un gagnant et on peut très bien dans la banque être des deux cotés et n’encaisser que les profits en laissant les pertes à sa boite...

Le plus marrant est de commencer dans l’autre sens et de vendre à terme une devise ou un produit que l’on a pas en jouant sur la baisse des cours soit l’inverse du schéma ci dessus : en l’achetant moins cher plus tard.

Pour avoir le droit de faire cela il faut avoir une autorisation de change à terme de la banque : On est loin de l’Awallah !

Les conditions sont simples on exige bien souvent qu’un dépôt égal à 5% du montant de l’opération de vente à terme rien pour les achats à terme.

Problème :

Le problème est que nos petits génies des salles de marché considèrent ces opérations comme de la statistique et montent des modèles mathématiques élaborés sur ordinateurs en prétendant maîtriser les hasards des nombres sans un regard sur l’économie ni le client en provoquant parfois des catastrophes quand les cours s’effondrent accidentellement comme à Tokyo après un tremblement de terre.

Le problème s’amplifie car quand une perte de cet ordre survient les nouveaux produits reportent le dénouement du contrat par un autre en repoussant parfois éternellement le résultat négatif des opérations.... et cela fait Barings quand on s’en rend compte longtemps après. Imagine les cadavres dans les placards des banques. La BDF le sait mais n’a pas les moyens de vérifier ces opérations qui sont hors bilan et compensées...

Les artisans de ces opérations sont les traders qui sont motivés par des revenus insensés dépassant de loin ceux de leurs dirigeants qui ne les contrôlent plus.

Ils sont pris de passion et d’une volonté incroyable à écraser le concurrent enivrés de faire de l’or avec du vent : La violence de leurs actions se retrouvent dans les marchés et dans la vie quotidienne.

Le bénéfices pipés sont au début astronomiques mais les réveils sont difficiles quand le trader part en congés et que le marché se retourne par exemple....

Les compte non publiés servent aussi à cela.

Il faut à tout prix contrôler le goût effréné du jeu et des profits spéculatifs qui atterrissent comme la monnaie sale dans les paradis fiscaux.

La France très impliquée dans ce genre de produits, le blanchiment en off shore d’argent sale et de gros détournements dans le cadre de vente d’ armement n’est pas à l’ abri d’un scandale qui posera le problème de la dérive de la moralité des affaires devenus totalement dépravées et maintenant criminelles.

Combien de salariés et de créateurs éradiqués faudra t il encore pour que l’appétit et la moralité de quelques uns bien trop nourris se culpabilise enfin ?


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