Il y a une solution, qui consisterait à numériser en priorité les nombreux ouvrages anciens, hors droits d’auteur (antérieurs à 1925, approximativement).
Contrairement à un préjugé assez répandu, ces ouvrages anciens, dits « classiques », ne sont pas les moins valables. Ce serait même plutôt le contraire.
Google s’honorerait en numérisant par exemple les fameuses « Questions sur l’Encyclopédie » de Voltaire, introuvables dans le commerce, et au moins aussi valables que l’Encyclopédie qui les a suscitées.
Même chose pour l’excellent « Journal d’un poète », d’Alfred de Vigny, ou « L’Apologie pour Hérodote » d’Henri Estienne.