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Derniers commentaires



  • titi titi 21 août 2008 21:38

    "Et nous devrions prendre garde à ce que le nom de notre peuple et de ce pays que nous aimons ne devienne un jour aussi haï et méprisé par la majorité du genre humain que celui des américains, car associé à lui... "

    Comment pouvez vous avancer "par la majorité du genre humain ".
    Un sondage a-t-il été produit  ?



  • titi titi 21 août 2008 16:11

    Ces deux conflits ne sont dans l’immédiat pas comparable.
    1. Les troupes engagées sont bien moindre ;
    2. Les talibans ne disposent pas d’une aide internationale comparable : derrière le VietCong il y avait le VietNam du Nord et la Chine. Et ceux ci fournissaient matériels et hommes ;
    3. Surtout, l’engagement ou non des troupes de l’OTAN n’est pas en enjeux de politique intérieure : Ohama ne fait pas campagne sur le thème si je suis élu tout le monde rentre au bercaille.
    A part en France ou visiblement certains ont trouvé là le moyen d’exister.



  • titi titi 21 août 2008 00:41

    "Bref nous prenons tous des risques, et par conséquent les bénéfices doivent être équitablement répartis en celui qui investit dans le capital et celui qui investit son temps et ses connaissances pour produire de la richesse. "

    Et quand il y a déficit alors on continue tous à travailler sans être payer ?



  • titi titi 21 août 2008 00:33

    "elles ont abandonné une grande partie de leurs activités (par exemple : nettoyage des locaux) et les ont confiées à des entreprises sous-traitantes. C’était une excellente idée d’un point de vue stratégique : cela permettait de faire porter une partie du risque à des petites entreprises, tout en divisant les salariés (diviser pour régner, cela marche toujours)."
    C’est assez pueril comme analyse.

    Il y a d’autres facteurs plus pragmatiques et moins idéologiques :
    1) Limitation des immobilisation
    2) compétences et spécialisation 
    exemple po : un grossiste en pomme de terre dispose de sa propre flotte de poids lourds pour les transports entre ses dépots...
    => 1) il possède donc douze camions qui ne tournent que de façon saisonnière et qui se déprécient sur le parking (et sont soumis à taxe tous les ans) 
    2) à chaque voyage il n’y a jamais de contre voyage.






  • titi titi 21 août 2008 00:10

    @L’auteur,

    "....nous ne pouvons être « tous » des entrepreneurs car nous ne pouvons avoir « tous » un produit ou service spécifique à proposer à la vente ..."
    Bah pourtant si. Le produit c’est vous et vos compétence.


    Vous écrivez :
    Le statut « d’entrepreneur » dépend pour partie d’avantages trouvés « au berceau ».
    Euh ca veut dire quoi ? Surtout que plus loin vous dites
    "La réussite suppose en effet des pré-requis se composant d’un ou plusieurs des éléments suivants 
    un premier capital financier, fût-il modeste 
    un capital formation 
    un capital relationnel"
    Je connais peu de gens qui sont nés formés avec des amis et des sous smiley)

    D’autre part le "un premier capital financier, fût-il modeste " est erroné.
    Le capital financier ne peut pas être modeste. Les lois sur le capital à 1 euros sont de la pure hypocrisie.
    Si vous créez une entreprise, avant que vous ne puissiez produire et vendre quoi que ce soit vous devez :
    Avoir réaliser les formalités d’enregistrement (quelques centaines d’euros) avoir une protection RC (environ 1500 euros/an) et avoir un comptable qui validera vos comptes (minimum 1500 euros /an).
    Donc avec moins de 3000 euros vous ne démarrer rien.
    C’est pas énorme, mais je ne dirais pas que c’est modeste.

    "Tous deux sont indubitablement tributaires des aléas économiques"
    Certainement.


    "L’entrepreneur va faire porter le risque entrepreneurial sur un capital limité"
    Il est exact que la SARL permet de limiter le risque aux apports initiaux.
    Mais pour démarrer une entreprise, il est obligatoire de disposer d’un compte bancaire au nom de la société. Or les banques n’autorisent pas l’ouverture de ces comptes "professionnels" sans garanties de la part du gérant ou des associés.
    En clair en cas de découvert, c’est le gérant qui doit combler avec ses deniers propres.
    Ca c’est une différence de risque entre le gérant et ses salariés.

    Les gérants d’entreprises sont souvent « gérants-salariés ». Ils cumulent alors trois sortes de ressources 

    - les bénéfices de l’entreprise ;
    Pour être gérant salarié, il faut ne pas être majoritaire en parts => le gérant salarié ne dispose pas de la majorité des dividendes.
    - l’usage des moyens de l’entreprise : moyens de transport, moyens de communication, prise en charge de frais de fonctionnement divers y compris les frais de repas liés à l’activité ;
    C’est vrai mais, en France, tous ces moyens constituent ce qu’on appelle des avantages en nature. C’est à dire qu’ils entrent dans le calcul de la feuille de paie, sont soumis à cotisations sociales et impots.
    Par exemple disposer d’une voiture particulière c’est 1% de la valeur du véhicule en brut par mois.
    - à ces ressources sociales s’ajoutent un salaire et les dispositifs sociaux du statut salarial : assurance maladie, formation professionnelle continue, etc.
    Oui. Mais celà n’inclus pas l’assurance chomage.

    "Après des siècles de revendications, les partenaires sociaux ont fini par s’entendre afin de sécuriser le transit entre deux emplois au bénéfice du salarié par l’indemnisation des périodes de chômage."
    L’assurance chomage ne couvre pas le gérant salarié. Elle peut le faire, mais le formalisme est très lourd ,et est cautionné par l’interpretation qu’en fait le préposé Assédic. Autrement dit, à part si c’est votre cousin, aucune chance.
    D’ailleurs un gérant salarié ne cotise pas aux Assedic et donc c’est normal. Ce qui l’est moins c’est qui si vous cotisez pendant 20 ans aux Assedic et que vous devenez gérant pour 1 journée alors vous avez perdus les droits qui avait été ouverts.
    Et là il y a une grande différence de risque entre le gérant (salarié ou non) et le salarié.
    C’est ce qui conduit à par mal de situations limites : du genre on nomme son cousin ou sa cousine gérant(e) de paille pour ne pas perdre son statut salarié + assédic.


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