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Thierry SALADIN

Thierry SALADIN

Médecin généraliste, depuis peu retraité. Je m'intéresse entre autres à l'Histoire, l'Astronomie, la Paléontologie, la Politique, la Défense de la langue française et la Communication internationale, donc à l'espéranto que j'ai appris et que j'enseigne. Je suis enseignant diplômé pour cette langue.
Comme Jean Dutourd, de l'Académie française, je pense que "la langue française n'est pas malade, elle est en guerre. Elle est victime d'une agression. Elle est envahie par les armées du sabir qui la ravagent comme les armées anglaises ravageaient la France pendant la guerre de Cent Ans."
Cette conviction m'a conduit à m'intéresser à l'espéranto qui, en cette époque de mondialisation, m'apparaît comme étant la seule solution raisonnable pour protéger notre langue maternelle et, de manière générale, toutes les langues. La construction européenne, qui est un formidable piège, posé entre autres à notre pays, aurait pu être l'occasion de montrer au monde la voie à suivre : adopter une langue neutre, équitable : l'espéranto. Et ce afin de faciliter la communication et un débat démocratique. Mais voilà, non seulement les esprits — ceux du peuple — sont actuellement "bloqués" contre cette langue pour des raisons touchant à l'ignorance et à l'irrationnel, mais les promoteurs de cette fichue Union Européenne, eux, ont une idée derrière la tête : imposer l'anglais. À petit feu, c'est-à-dire imposer de façon subreptice l'objectif d'une langue unique (comprendre l'anglais), et ce sans débat, jusqu'au moment où l'adoption de cette langue deviendra virtuellement inévitable.
Mais pour contrer de tels projets, autrement dit expliquer cet état de fait, même aux partisans du Frexit, et notamment que l'anglais imposé fait bel et bien partie d'un plan destiné à asservir les peuples, il y a du pain sur la planche ! Ainsi sont les hommes...

Tableau de bord

  • Premier article le 26/01/2012
  • Modérateur depuis le 02/09/2013
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Derniers commentaires



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 26 août 2023 14:51

    Vous avez entièrement raison. Mea culpa.

    Bien qu’elles soient toutes des langues flexionnelles, les langues indo-européennes et les langues sémitiques sont deux familles distinctes.

    Bien cordialement.

    Thierry Saladin



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 26 août 2023 12:21

    @C’est Nabum
    Je profite de l’occasion pour vous féliciter pour cet article.

    Je partage votre scepticisme quant à l’origine sémitique des langues citées par Mélusine.

    La grande famille des langues indo-européennes comporte bien les langues sémitiques (hébreu et arabe pour faire simple, et aussi l’araméen).

    En revanche les langues latines, germaniques et slaves qui font également partie des langues indo-européennes dépendent de sous-familles différentes.
    Latin, français : Groupe italique
    Allemand, anglais : Groupe germanique.
    Russe, polonais, etc. : Groupe slave

    Bien cordialement.

    Thierry Saladin



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 26 août 2023 09:27

    Bonjour Mélusine ou la Robe de Saphir.

    Aucun changement !!! et l’arrivée des BRICS qui nous sortent du monde unipolaire....

    Je vais dans votre sens : les BRICS peuvent effectivement (pourraient) être la solution pour nous sortir de ce fâcheux tout-anglais.

    Mais d’une part, je ne vois aucun signe pour l’instant d’une telle volonté chez les BRICS (mais je ne demande qu’à changer d’avis), et d’autre part les choses étant ce qu’elles sont, l’hypothèse d’un monde multipolaire conservant le tout-anglais ne peut être écartée.

    Or le sujet de la communication internationale est crucial. Mais plus le temps passe plus ce sera difficile de remettre en cause cette monopolisation de l’anglais. En particulier avec le renouvellement des générations.

    Et déjà le discours de Poutine du 23 août 2023 (N.B. : la Russie va prendre la présidence des BRICS pour un an) ne montre absolument rien qui irait dans ce sens, bien au contraire.

    Ses priorités, que j’approuve, sont visiblement ailleurs (dédollarisation, la monnaie, la multipolarité, l’économique, le respect du droit international, une réforme de l’ONU, etc.).

    Quant à ses quatre collègues actuels des BRICS, eh bien c’est du pareil au même.

    Mais encore une fois, je ne demande qu’à changer d’avis.

    Bien cordialement.

    Thierry



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 25 août 2023 18:11

    @C’est Nabum

    (...)Ne pensez pas ce que ce n’est que ça.
    Vous avez bien raison.

    Mais, voilà très peu de gens en ont conscience, déjà par le fait qu’aucune information n’est donné à Monsieur ou Madame Tout-le-monde — surtout pas ! —, d’une part, et ensuite que tout cela : l’imposition de l’anglais un peu partout dans le monde — car il s’agit bien de cela et de rien d’autre — ainsi que dans la société relève d’un plan, d’autre part.

    Un plan diabolique, certes, mais génial : parier avec le temps sur les générations futures au moyen de réseaux d’influence très efficaces.
    Auteurs du plan : Churchill et Roosevelt pendant la guerre.

    Ce thème-là, abordé plusieurs fois sur Agora Vox, ne progresse pas tellement la pression est mise sur nous.

    Une catastrophe culturelle à l’échelle planétaire est donc en route : si rien ne change. Et pour l’instant votre serviteur ne voit aucun changement. Mais bel et bien la poursuite du plan.

    Vous n’y pouvez rien, et moi non plus. Mais c’est ainsi.

    Bien cordialement.

    Thierry Saladin



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 25 août 2023 17:54

    @amiaplacidus

    (...)Mais je suis totalement incapable de faire des traductions simultanées.
    Votre aveu mérite d’être souligné. Bravo.

    On peut en effet très bien connaître une langue étrangère, et même l’enseigner, et se révéler un piètre traducteur, au sens professionnel du terme.
    Car la traduction consiste en un travail de recherche pour parvenir à un résultat donnant l’impression au lecteur, que l’auteur du papier, article, ou œuvre littéraire a écrit directement dans la langue cible : de préférence la langue maternelle du traducteur.
    C’est le but que doit se fixer le traducteur professionnel.
    C’est un art que de traduire !

    Quant à l’interprétation dont il est question ici, c’est encore un autre métier, où celui qui l’exerce doit décoder et recoder en quelques fractions de seconde ce que l’orateur est en train de dire. Lequel continue son propos.

    On peut donc dire qu’un interprète est en quelque sorte un acteur.
    Quant au traducteur, il serait plutôt un chercheur : au sens qu’il dispose de temps, lui, pour si besoin se documenter, faire des recherches, contacter l’auteur, etc., pour parfois obtenir une précision utile pour finaliser son travail.

    Dans les deux cas ce sont des métiers, différents certes, mais des métiers à part entière. Lesquels exigent une vraie compétence.

    Terminons en ce qui concerne l’interprétation simultanée pour dire que c’est tellement exigeant en attention cérébrale, donc énergivore, qu’au bout d’une demi-heure, l’interprète n’en peut plus. Il est épuisé et doit donc être remplacé.

    Sinon, sa capacité d’interprétation va singulièrement baisser.

    Bien cordialement.

    Thierry Saladin

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