@quijote En fait, l’immigration est d’abord due au désir de millions de personne de trouver un Eldorado supposé, pour raison de surpopulation et sous-développement. Et ce mouvement est exploité par des profiteurs (affairistes demandeur de main d’oeuvre malléable, passeurs...) et des idéologues/idéalistes (humanitaristes...). Comme vous l’indiquez, les ’’profiteurs’’ instrumentalisent les bons sentiments des ’’idéalistes’’ (ces derniers sont sincères, mais irréalistes)..
@révolté Si on regarde bien l’article, le même problème qui se pose pour la France se pose aussi pour les autres pays, en particuliers les pays européens (notamment la question de l’épuisement des ressources minières et énergétiques). Le ’’localisme’’ consiste à trouver les ressources ’’au plus proche’’, cela peut nécessiter une synergie entre pays voisins. Donc le ’’leader charismatique’’ -s’il s’en trouve- devrait agir pour le pays, mais aussi dans le cadre européen, et s’il a le talent, entrainer les autres pays pour repositionner l’UE.
En plus, la formulation est ubuesque : ’’Après le dix-septième alinéa de l’article 34 de la Constitution, il
est inséré un alinéa ainsi rédigé : "La loi détermine les conditions
dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à
une interruption volontaire de grossesse".
On n’avait pas eu besoin que ce soit écrit dans la Constitution pour avoir promulgué cette loi en 1974. Ah oui, l’élément nouveau est de parler de ’’liberté garantie’’ au lieu d’un ’’droit’’, la face du monde en est définitivement changée !
l’article 34, définissant le champ de la loi stipule déjà au premier alinéa ’’les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques’’ si on commence à lister tous les droits et libertés, alors les droits à la retraite, aux congés payés, aux soins, etc. devraient figurer.
Alors qu’il y a un nombre considérable de vrais sujet d’angoisse (guerre, crise, insécurité...), on nous fait tout un faux mélodrame sur l’urgence qu’il y aurait de mettre le droit à l’avortement dans la constitution, alors que la loi existante depuis un demi siècle n’a jamais été mise en question par quelque parti politique que ce soit.