Les JO sont une des facettes de la mondialisation, avec l’OMS, l’OMC, l’ONU (ex SDN créé en 1919) et ses satellites, Davos...autant de prétextes politique à un internationalisme pour diriger l’humanité vers une gouvernance mondiale...
Que les personnes homosexuelles n’aient pas d’affinités (d’âme) électives avec le « genre » opposé, voilà tout, chaque histoire est personnelle, unique,le caractère « inné » n’est pas démontré à ma connaissance, il semblerait provenir de l’acquis, ce qui s’oppose déjà à l’idée de norme. L’homosexualité n’est pas un « genre », ou deux.
Quant au « genre » il est lui-même impossible à définir, puisque personne n’a une idée exacte de celui qui n’est pas le sien...
« Qu’est-ce qu’une femme ? » est un documentaire américain de 2022
traitant des questions de genre et de transgenre, présenté par Matt
Walsh, produit et publié par The Daily Wire et réalisé par Justin Folk.
Faussement naïf, Matt Walsh a posé sa question (qui est une question
piège) à des universitaires et à des bobos californiens, sans obtenir de
réponse bien précise. La distinction entre imaginaire et réalité semble
floue. Les Massaïs, eux, ont des réponses claires et nettes.
Walsh réussi un coup de force en mettant à nu les idéologues du genre en leur posant cette question très simple « Qu’est-ce
qu’une femme ? » Il a été impossible aux interlocuteurs de répondre !
« J’ai d’abord commencé à poser cette question : “Qu’est-ce qu’une
femme ?’” parce qu’il m’est venu à l’esprit, tout comme à beaucoup
d’autres personnes, que c’est une question à laquelle les idéologues du
genre ne peuvent pas répondre et cela fait tomber en quelque sorte toute
la façade de l’idéologie du genre », a déclaré Matt Walsh dans une
interview avec National Review. Nous conseillons à nos lecteurs de
découvrir ce documentaire qui met en évidence l’absurdité abyssale des
idéologues Woke. « Je pense que l’idéologie du genre peut être
battue, car elle ne résiste à aucun examen. Et donc tout ce qu’il faut,
c’est que nous ayons un peu d’audace, que nous la regardions en face et
que nous posions quelques questions de base. »
...
Une nouvelle clientèle : les enfants transgenres (...) Une nouvelle maladie : la « dysphorie de genre » (...)
@Julien30 Vous m’attribuez une citation que je n’ai pas écrite, une erreur de destinataire ?
Quant à l’homosexualité, elle s’affiche tant à droite que à gauche il me semble, quoique j’ignore si de telles statistiques sociales existeraient. Au doigt mouillé ou au pif, elle serait moindre (ou moins visible) dans les milieux populaires, dont ils n’ont rien à faire de cette question GPA qui agite quelques univers marginaux, déjantés, underground, bobos L’amalgame avec l’homophobie ne sert pas cette cause car ce n’est pas le même sujet, tou(te)s les homosexuel(le)s, la plupart je crois, n’ont pas ces pulsions de pa/maternité
Désolé mais chez les homosexuels, les enfants ne sont pas fils et filles de l’appel de la Vie à elle-même,ne viennent pas à travers eux*. Comment donc considérer cette situation comme naturelle, alors même qu’on la sait à l’évidence dénaturée, altérée jusqu’à perdre les caractères considérés comme naturels, chez l’homme...
La question éthique est loin d’être simple, évidente... face à elle, un sondage de commanditaires venus de poulaillers d’acajou, de belles basses-cours à bijoux,
n’est qu’une petite conversation à huis clos de la volaille pour fabriquer l’opinion
Il n’est pas dans les prérogatives de la politique de s’en emparer. Je suis convaincu qu’un référendum ne validerait pas la GPA.
* Khalil Gibran (extrait du recueil Le Prophète)
Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit, Parlez-nous des Enfants. Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même, Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, Car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.
Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés. L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance pour que Ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie ; Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable.
@Seth Dans la question de la GPA ce n’est pas l’homosexualité par elle-même le problème... elle ne relève que de la vie privée, sauf erreur elle ne donne pas de droits particuliers... et c’est justice que les homosexuel(le)s ne soient plus / pas discriminé(e)s comme ils le furent par le passé. Que deux personnes de même s’aiment, veulent partager leur vie ensemble c’est leur affaire. Par contre si les droits « de » l’enfant existent, le droit « à » l’enfant n’existe pas.
Le droit positif (les lois) découle des droits naturels, la GPA n’étant pas naturelle et bien un artifice de procréation extra conjugale comment un droit positif pourrait-il en découler ? Dans l’histoire humaine la marchandisation des corps c’est la prostitution. l’esclavage... Le rapport de possession à l’enfant ne peut pas plus être invoqué, les enfants ne nous appartiennent pas.