Oui, c’est ce qu’on a aussi dit de l’Allemagne avant que Schröder ne sème définitivement les germes du libéralisme et, paradoxalement, ceux de la pauvreté extrême des travailleurs.
Pécresse se fout, comme Macrotte, de l’étatisme. Elle souhaite simplement la place, les privilèges et le salaire à la clé. Celle-ci préfère la soumission au libéralisme d’où qu’il vienne (UE ou autre) que la concrétisation de la politique via des actions concrètes en faveur du peuple qu’elle est censé servir (et non desservir).
D’ailleurs, elle possède de nombreux liens d’intérêt, directs ou non, avec le PCC et ce qui lui a justement valu sa fausse nomination à la tête de la droite (tout est faux chez elle de toute manière).
J’ai toujours plaidé pour une vraie démocratie avec pour centre le citoyen, chose à laquelle ont déjà partiellement répondu de très nombreux auteurs ainsi que les GJ. Quoi qu’il arrive, nous arriverons fatalement à cette forme tant désirée, mais je préfèrerais tôt que trop tard.
Tatcher a été une catastrophe ambulante pour son pays. Entre son autoritarisme, son culte à la libéralisation et le fait d’écraser les syndicats de travailleurs. A part ça, elle n’est pas connue pour grande chose d’autre — soit, finalement, le vide total.
Pécresse est une délinquante multirécidiviste en col blanc, obligée de blinder ses rassemblements d’étrangers qui n’ont jamais voté/cru pour elle et de demander à des communautés étrangères (pilotées par Pékin) de voter pour elle.
La seule différence avec Tatcher, c’est sa nationalité. Sinon, elles font toutes deux partie de l’Eglise Du Saint Libéralisme qui détruit nos sociétés et peuples. Aucun programme précis à part donner le pouvoir absolu à des personnes qui en ont déjà beaucoup trop.
La pensée de Pécresse, c’est du macronisme déguisé. Bref, du vide. Avec les conséquences que l’on sait.
L’ensemble de la classe politique — excepté quelques personnes qui ne seront jamais tête d’affiche — est du même acabit.
Lorsqu’un système est totalement corrompu et le personnel qui va avec, on les change. On ne contribue pas l’entretenir en votant mais on se doit de le détruisant pour en fonder un qui soit techniquement/moralement viable et contrôlable par a base de la société, à savoir le citoyen.