JLR72

@Mozart

Non c’est bien toi qui rêves.

La réalité, c’est que la Russie est intervenu parce que le petit dont tu parles n’arrêtaient pas de lui mettre des petits coups dans les pattes, se considérant protéger de facto par le plus balaise de la cour de récré.

@Mozart

Fortune estimée entre 20 et 200 milliards. Tu parles d’une fourchette mdr. Je ne doute pas que Poutine se soit enrichi plus que de mesure à la tête de l’Etat russe ; toutefois ces sommes me paraissent délirantes.

La Russie est un pays très corrompu. En effet ; et personne ici je pense ne le nie.

En revanche, vous êtes le seul avec vos acolytes pro-Kiev à vouloir nous vendre l’Ukraine comme un pays démocratique, libre, progressiste, adossé à un Etat de droit...avec en tête de gondole le courageux Zelensky.

Tout cela n’est que du médiocre story-telling américain ne trompant que les plus naïfs.

PS : Zelensky figure dans les pandora papers ; en plus de mouvements financiers suspects sur d’autres comptes ; tandis que celui qui l’a lancé et financé (Ihor Kolomoisky) est accusé d’avoir détourné USD 5milliards de sa propre banque PrivatBank. 
Beau palmarès !

@Eric F

Je vous trouve un peu naïf.
Les US s’intéressent à l’Ukraine (pour des raisons géostratégiques) depuis le début des années 2000 avec le soutien financier des révolutions de couleur. En 2008, Condoleezza Rice, poussait pour intégrer l’Ukraine dans l’Otan dans un futur proche. Les allemands et français avaient d’ailleurs apposés leur véto, sentant le risque vis à vis de la Russie.
Extrait d’un article de Reuters datant de septembre 2008 : " U.S. Secretary of State Condoleezza Rice on Monday pledged Washington’s firm support for Ukraine’s bid to join the NATO military alliance despite strong Russian opposition to the move"

La suite, vous la connaissez... participation au coup d’Etat de 2014 puis financement et formation de l’armée ukrainienne de 2014 à 2022 avec appui des nationalistes ukrainiens.

@Octave Lebel

Arrête ton char et ton misérabilisme.

Il n’y a pas que dans les cités et les ghettos que les écoles et services publics sont abandonnés mais également dans une bonne partie du territoire. Ce n’est pas parce que LFI en a fait sa marotte pour des considérations bassement électorales afin d’attirer le vote des immigrés que cela reflète fidèlement la réalité.

Déjà il y a plus de 20 ans, j’étudiais dans un lycée de la région parisienne. Ce lycée se trouvait à côté d’une cité chaude et pourtant moi, fils de classe moyenne haute, j’ai été affecté à ce Lycée. Pendant 3 ans, j’ai du faire 2h de trajets A/R par jour pour m’y rendre tandis que vos « immigrés », eux, avaient 15mn max AR (à pied) lycée-domicile.
Je rappelle pour info que pendant ces 3 ans, 1/3 voire la moitié des effectifs de ma classe étaient des français issus de l’immigration africaine.

La très grande majorité bossait à l’école et obtenait des résultats (j’en retrouve d’ailleurs bcp dans les positions cadres de boites du CAC40) ; une petite poignée ne foutait rien parce qu’ils n’avaient tout simplement pas envie de bosser, préférant l’argent facile, et n’avaient pas ou peu d’éducation. 

Ce que je souhaite souligner c’est que considérer que seuls les plus pauvres et les immigrés sont délaissés par l’Etat, c’est parfaitement faux puisque cela concerne la plupart des élèves français. 

@Fergus

C’est sur si la Croatie veut y rentrer, c’est que c’est forcément un gage de viabilité de la monnaie...
Un peu de sérieux @Fergus, ceci n’est en rien un argument pertinent sur la question de l’euro.

La Croatie est un tout petit pays (moins de USD 70Mds de PIB) qui veut profiter pleinement, à l’instar des pays de l’Est membre de la zone euro et de l’UE, des fonds généreux et de la protection de l’UE pour se développer.

Pourquoi les autres ne veulent pas sortir de l’euro ? Deux raisons : la lâcheté des dirigeants (car la sortie à un impact, c’est un fait) et leur obligation de renoncer à la création de croissance par la dette publique (autrement dit renoncer à la croissance à court et moyen terme puisque la faiblesse de notre économie, industrie, productivité ne nous permet pas de créer de la croissance sans dette publique).
Quant à l’Allemagne et les Pays-Bas, ils n’en sortent pas car leurs économies bénéficient encore de l’euro (cf excédents commerciaux extraordinaires cumulés par ces deux pays depuis près de 2 décennies).
Mais jusqu’à quand lorsque l’on sait que la France et les Etats du Sud vont continuer de vivre grâce à la dette publique en euro ?

Par ailleurs, prenons un peu de recul. Les économies de la zone euro sont divergentes, certaines ayant besoin d’un euro fort, d’autres faibles ; certaines ont besoin d’une politique monétaire relativement accommodante quand les autres ont besoin d’un resserrement...C’est un peu comme si vous vouliez chausser avec la même paire des individus chaussant du 40 comme du 45. 

Comme je le disais à Mozart, je fais bien plus confiance aux grands économistes de ce monde, comme Robert Mundell ou Milton Friedman (pour ne citer qu’eux) pour juger de la viabilité de l’Euro.