C’est exactement ça, le capitalisme détruit aussi bien la nature que le lien social.
Séparer les deux comme le revendiquent les pseudos écolos de droite, ce n’est rien y comprendre au lien quasi charnel qui existe entre destruction du tissu social et de la nature.
Que la croupe était belle, mais que la soupe était bonne.
Ventre vide n’a pas de tête, et une bite a vite fait de se transformer en saucisse.
Freud avait tort : penser que tout ce qui dans la tête provient de ce qui est dans le slip, n’était que dans celles des gens bien nourris qui le consultait.
@Inquiet Vous l’aurez compris, ce que j’appelle « progrès » ne concerne pas la capacité d’obtenir le bolide dernier cri, mais uniquement ce qui concerne l’amélioration des conditions de vie (et non de survie).
Faisons court. Quand la populace éclairée quémande de l’égalité, elle demande à être traitée de la même manière en termes de droits et devant le progrès.
En résumé, être jugé par rapport aux faits et non par rapport au pédigrée, et par exemple pouvoir se soigner avec les thérapies les plus couteuses s’il le faut sans en payer le prix socialement (mort sociale suite à l’acquittement des frais de santés).
On pourrait mettre en place un observatoire de l’espérance de vie en bonne santé, en faisant en sorte que le 1ᵉʳ et le dernier décile de la population, en fonction des revenus, ait la même espérance.