Une référence scientifique ? Une étude validée par une deuxième équipe ? La détection du mensonge par irmf est un serpent de mer qui a commencé à apparaître en 2004 dans un court article de sciences et avenir. AUCUNE expérience n’ a jamais été tentée grandeur nature avec une personne en accusation qui aurait donné son accord et aurait reçu la garantie que les résultats seraient gardés secret.
’’le menteur doit d’une part élaborer le
mensonge’’. Et le gars qui fait une recherche dans sa mémoire, il active qu’elle zone ? Et celui qui a construit un alibi il a attendu l’interrogatoire pour ’’élaborer le mensonge ?!
Je m’interroge pour savoir comment vous êtes arrivé sur ce blog, dont on ne connaît rien du rédacteur sinon qu’il se nomme Scalar (cliquer sur le point d’interrogation en bas à droite de la page d’accueil).
J’ai l’impression que nous avons affaire à un gamin frimeur qui balance des arguments d’autorité sans jamais donner une référence à une source extérieure de qualité. Sa falsification de l’image en question est assez parlante.
J’aurais été prêt de retirer le qualificatif de Charlot, mais après avoir fait des recherches, je le maintiens, car j’ai la preuve que vous avez vous-même modifiées les légendes d’une image qui n’a rien à voir avec le sujet de votre article. Il s’agit de cet article de 2009 :
L’article traite de la boulimie : ’’Les femmes
atteintes de boulimie nerveuse (BN), par rapport aux femmes en bonne
santé, ont montré des modèles différents d’activité cérébrale tout en
effectuant une tâche nécessitant une autorégulation.Selon
un article publié dans le numéro de janvier 2009 des Archives of
General Psychiatry, cette anomalie pourrait être à l’origine de
l’hyperphagie boulimique et d’autres comportements impulsifs associés au
trouble de l’alimentation.’’.
D’autre part, pour clouer le dernier clou sur le cercueil, je vous rappelle que le premier droit d’un accusé et de conserver le silence, et qu’en conséquence votre examen miracle ne peut être pratiqué sur un individu qui a décidé de refuser de se concentrer sur les questions qu’on lui pose, en présence de son avocat, et préfére chantonner dans sa tête le dernier tube à la mode !
Je garde mon self
contrôle et ne suis pas violent dans mes propos mais tout à fait
rationnel. Il suffit de relire l’article sur l’expérience en
question pour remarquer que : ’’En utilisant une régression
logistique, nous avons trouvé que les experts en IRMf étaient 24%
plus susceptibles ... de détecter le nombre caché que les experts
en polygraphie.’’
Donc, l’IRMF
permettrait une précision supplémentaire de 25 % de plus qu’un
test considéré comme non fiable !
De plus, la
rédaction est étrange puisqu’on parle de ‘’détecter le
nombre caché’’. Etant donné qu’il y a 8 possibilités, mais
simplement un choix binaire chaque fois, les expérimentateurs ont
donc posé 8 fois la question et découvert le nombre caché. On
devrait essayer avec 100 nombres ! Ca risque d’être long et
différent comme résultat étant donné le nombre de possibilités,
la fatigue du sujet, ... !
‘’Incidemment, lorsque 2 évaluateurs sur 3 dans chaque modalité
se sont mis d’accord sur un nombre (N = 17), la précision combinée
était de 100%.’’.
Etant donné qu’il
s’agit d’une réponse binaire, avec 17/28, soit un taux de
réussite de 60 %, l’expérience aurait donné un résultat
avec un taux de réussite de 40 % si les 4 évaluateurs (2+2)
avait dit l’inverse de leur opinion ! Fermez le ban !