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efarista

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qui je suis ??? je suis mécontente et de méchante humeur des que je jette un oeil a ce que font ces nazes de politicards !

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Derniers commentaires



  • efarista efarista 5 août 2012 18:13

    L’excès dont a fait preuve François Fillon est d’ailleurs d’ores et déjà sanctionné par les événements : une fracture du pied pour laquelle on lui souhaite, désormais, un prompt rétablissement...

    Ah non non ! je ne lui souhaite pas un prompt rétablissement.... mais alors pas du tout. Je pense que ses frais vont couter chers a la sécu...et que c’est un fieffé profiteur de notre système social.



  • efarista efarista 1er août 2012 19:27

    Le blog de Paul Jorion est plutôt fameux et reconnu en analyse économiste. Son comparse François Leclerc se pose la aussi.

    http://www.pauljorion.com/blog/

    Le site d’Olivier Berruyer arrive juste aprés ; http://www.les-crises.fr/




  • efarista efarista 1er août 2012 19:20

    La Banque Nationale Suisse (BNS), un organisme privé d’ailleurs, fait marcher la planche à billets en permanence, à l’instar de la Réserve fédérale américaine (FED), qui, apparemment lui sert de modèle. Des experts suisses demandent depuis fort longtemps, d’augmenter le taux de capitaux propres des deux « points chauds », UBS et Crédit Suisse, voire de radicalement les doubler. Le choc de la « presque-faillite » de l’UBS lors de la dernière crise financière est toujours présent et ceci rend évident le risque de faillite de l’Etat.

    L’économie propre de la Suisse est beaucoup trop petite pour empêcher la faillite d’une de ces banques majeures dans une crise financière future, d’autant que les données macroéconomiques intérieures brutes ont été créées pour une grande partie, justement par ces deux « réservoirs de capitaux » (UBS et CS). La survie économiques de tout un pays dépend donc de ces deux groupes bancaires ! 

    Le ratio de la dette, de 40% en Suisse, pourrait passer en quelques instants à la marque de 100% si le marché obligataire demandait des provisionnements divers, ce qui est aujourd’hui ouvertement discuté dans de nombreux cercles d’experts. Il ya deux manières connues de rembourser une dette : soit le débiteur paie, soit les banques la provisionne.

    Pourquoi ceci est-il si important pour la Suisse, alors que d’autres pays ont fondamentalement le même problème ? Très simplement, car elle est, avec ses banques gigantesques par rapport à la taille de son économie nationale, très fortement investie dans le marché obligataire international.

    A quelle vitesse des problèmes peuvent-ils survenir ? Nous l’avons appris avec l’exemple de la Grèce. Quand les pays débiteurs deviennent insolvables, les banques prêteuses sont sous pression. Et voici, à mon avis, le problème central de la Suisse.

    Bien sûr, vous pouvez compenser la défaillance du débiteur (prévue) par la « planche à billets", mais il ne s’agit pas d’une devise maîtresse comme le dollar ou l’euro, mais de la monnaie d’un pays de huit millions d’habitants. Il est bien connu que l’impression simple dilue une monnaie et la Suisse n’est pas "too big to fail". Dans le cas d’une nouvelle crise (qui est probable), la Suisse ne serait plus en mesure de combler ses trous béants car ses deux banques phares sont tout simplement trop importantes.

    Les citoyens suisses apprendraient alors également les "méthodes de comptabilité créative » dans leur pays. De plus, un sauvetage allégué par la « planche à billets » pourrait ruiner le Franc suisse lui-même, et ainsi détruire la confiance dans la région.
    Bref, la Suisse ne serait pas en mesure de sauver une seule des deux banques, au cas où elles se trouveraient en déséquilibre (cas dans lequel elles sont probablement déjà, si les chiffres réels étaient publiés).

    Le risque de faillite de l’Etat devient clair. Derrière les coulisses, entre les banques et les hommes politiques serviles, des entretiens existent apparemment déjà, en vue de diviser les établissements financiers afin de répartir les risques entre de nombreuses sociétés qui pourraient être « désactivées » en cas de besoin. Une séparation du business commercial de celui d’investissement est également d’une importance fondamentale.

    Le Crédit Suisse et UBS ont infligé, à mon avis, dans leur mégalomanie, de graves risques à la Suisse qui pourraient se concrétiser quand une de ces banques devra être sauvée de l’effondrement. Puis, soudain, un pays comme Singapour ou Hong Kong pourrait se présenter comme sauveur, parce que la Suisse elle-même ne sera pas capable, seule, de s’en sortir. Ce qu’un tel scénario représenterait pour l’autarcie de la république transalpine, tout le monde peut l’imaginer.

    Le potentiel des dettes des banques UBS et CS représente, cumulé, un multiple de la performance totale économique suisse.

    Ce que je présente ici est apparemment vu de la même façon par d’autres. La Suisse est-t-elle déjà vulnérable au chantage ? Pourquoi a-t-elle cédé sous la pression des Américains et a lâché des données de clients confidentielles et affaibli son secret bancaire si apprécié auparavant ?



  • efarista efarista 1er août 2012 19:14

    ? ???? la Suisse fait partie des pays qui se récupère l’évasion fiscale....donc il est encore heureux qu’elle s’en sorte comparé aux autres pays de l’UE. 
    Les riches salopards grecs, espagnols, ont déjà planqués leur pécule la bas. Les pseudos people français ont déjà la nationalité.
    Ne comparez pas l’incomparable !



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