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Des profs malades du manque de nature

Nous sommes à Montauban et pourtant l’impression qu’on a, c’est qu’on est à la campagne. Une belle campagne avec son calme, ses arbres, ses cultures, son lac, ses oiseaux… C’est la maison du lac. C. a passé la soirée sur place, elle prend son petit déjeuner, elle arrive d’un stage pédagogique et avant de rentrer chez elle dans une ville qui n’est pas à côté, elle passe par ici pour vivre ces deux jours consacrés à l’éducation nature à l’école. Cela ne fait pas cinq minutes que nous parlons qu’elle dit sa détresse dans le système scolaire. Elle le dit, elle ne peut pas faire autrement… Elle est au bout du rouleau, elle n’en peut plus du système. Elle vient là comme on chercherait une dernière bouée à laquelle on pourrait se raccrocher.

Ce qui ressort du corps enseignant

Mais pourquoi ils et elles viennent ces enseignant.e.s comme ça pendant leurs vacances, participer à un stage intitulé « Vivre la nature à l’école » et pourquoi elles paieront de leurs poches : les frais d’hébergement, de nourriture et les frais pédagogiques ? C. dit qu’elle est « en recherche de nouvelles façons d’être en classe  », M. « recherche des nouvelles pédagogies et se sent seule dans son école », B. parle de Montessori souhaite « plus de bienveillance à l’école, on voit des choses tellement dures … C’est la question de rester dans le métier qui se pose… », C. aime la nature, elle est très sensible à l’écologie, elle veut parlant de l’éducation à la nature « arrêter de trouver des bonnes raisons de ne pas le faire en classe », elle en a assez de voir son rôle de directrice réduit à « être une autorité à laquelle on demande de sévir », N. part tous les ans en classe de découverte, E. parle aussi de Montessori, elle a vécu la conférence d’Isabelle Peloux, tous les ans elle fait des plantations dans le parc à coté de l’école, R. ne se retrouvait pas dans son métier, dans sa remise en question il a découvert Montessori, il se sentait assez isolé, cette année il va avoir une classe de 35 élèves. Il s’intéresse de plus en plus au développement naturel de l’enfant, H. a fait des stages aux Amanins, parle aussi de Montessori, elle dit : « on ne vit pas assez la nature avec les enfants… envie de les reconnecter ». Par moment dans ce premier tour de parole sur les motivations, l’émotion est palpable, il y a des larmes. Ces enseignants ayant visiblement la vocation cherchent des solutions pour que ça aille mieux pour les enfants à l’école.

D’abord le contact

De la sortie contact qui a duré trois heures où la consigne est d’ouvrir tous nos sens pour mieux savoir où nous sommes, sont ressorties des pistes de projets : adaptation des plantes à leur milieux, écologie des insectes, croissance des plantes : du gland au chêne, rôle des insectes polinisateurs, organisation sociale des insectes, l’éveil sensoriel dans la nature, les traces d’animaux, atelier baies, les différents feuillages, dessin de plantes, reproduire les mouvements et les sons création de danse, les libellules, l’arbre remarquable… La pédagogie de projet est toujours centrale dans l’action pédagogique de nombreux enseignants. Nous en avons parlé avant de rentrer en atelier d’échanges.

Ensuite l’échange de pratiques

Nous avons tous, qui que nous soyons, vécu des expériences de transfert de savoirs concernant la nature. Le principe de cet atelier d’échange, c’est de raconter comment nous avons réalisé une action éducative concrète, cela pourra nous enrichir toutes et tous. Nous avons eu l’histoire des boites à toucher, réalisées par les maternelles qui sont devenues un évènement dans l’école. Nous avons eu l’histoire de la découverte des animaux de la mare, A. nous a raconté comment elle a vu « des enfants très effrayés par les petites bêtes ». Il y a eu aussi l’histoire d’écol’ô naturel qui a mobilisé plusieurs années, enseignants, parents, partenaires pour plus de nature à l’école.

La balade sensorielle

Trop souvent on se sent incapable d'accompagner un groupe parce qu'on a le sentiment de ne pas connaitre assez la nature. On ne sait pas le nom des plantes et des oiseaux donc on ne se sent pas légitime à encadrer une sortie. Il n'en est rien pourtant. Ce qui compte ce n'est pas de donner des noms, ce qui compte c'est notre niveau d'attention. Ce qui compte c'est d'être présent, c'est de refaire cette connexion avec le vivant non humain. L'humanité l'a toujours eu cette connexion, notre civilisation nous fait la perdre. La balade sensorielle, avec son concert, son cocktail d'odeur, son jeu du photographe, sa palette du peintre... est en toute légèreté un moyen très simple de rapprocher les personnes des bêtes et des plantes. L'écoute, l'ouverture, la présence, la capacité de trouver une certaine sérénité dans la nature, le voilà le moyen pour retrouver l'interdépendance avec la faune et la flore que nous avons perdu. Laisser un peu sa place au coeur.

Pour l’éducation nature, l’heure est arrivée

Nous avons eu un exposé de Crystèle Ferjou à distance depuis les Deux-Sèvres. Avant d’être enseignante Crystèle a fait de l’éducation à l’environnement. Il y a plus de dix ans, elle a entendu parler des jardins d’éveil en forêt et du livre de Sarah Vauquiez « Les enfants des bois ». Un livre qui déclenche des vocations. Finalement elle s’est décidé à faire le grand saut et a vécu pendant plusieurs années une demi-journée dehors avec sa classe de maternelles toutes les semaines. Quelque chose de pas très courant en France, voire de complètement inédit. Son expérience à fait l’objet d’un film. Aujourd’hui les parents y tiennent à cette sortie régulière et tellement bénéfique pour leurs enfants et Crystèle, devenue conseillère pédagogique, commence à former ses collègues à cette pratique. Un article du Monde de cet été à bien médiatisé son action. Notre échange qui n’a pas duré une heure à bien motivé les stagiaires, l’enthousiasme est contagieux. Certaines entendaient pour la première fois parler de jeux libres dans le contexte scolaire.

Curieux contexte

Michel Rose cofondateur des Rencontres Ecole et Nature en 1983 nous parle des classes camping qu’il faisait avec sa classe à vélo. Il précise : « L’institution ne nous a jamais beaucoup aidé » et ajoute que « maintenant ce ne serait plus possible » les obstacles pour une telle organisation sont devenus trop nombreux. Il dit aussi et en cela il rejoint Peter Gray qu’« on ne responsabilise pas assez les élèves » que « la pédagogie de projet devient absente, il faudrait dans l’année un crédit de 30 heures pour monter un projet  ». Il regrette certains changements récents : « Le samedi matin c’était le moment où l’on pouvait travailler à des projets avec les parents ».

« Mon plus grand frein, c’est moi  »

Quand nous avons échangé sur les freins et les leviers pour une éducation nature dans l’école, la question des programmes a été mise en avant : « quelle case du programme, je vais pouvoir cocher en faisant ces activités ? », mais nous avons aussi entendu : « mon plus grand frein, c’est moi  ». On entend aussi que « C’est difficile de faire rentrer les parents dans l’école parce que dans l’état d’esprit de mes collègues ce sont des chieurs… alors qu’à l’usage pas du tout  ». Le premier levier qui apparait c’est l’envie des enfants de découvrir le monde qui les entoure et l’envie des enseignants de les sortir dehors.

Le changement vient du terrain… n’attendons pas.

Les enseignant.e.s réunis ces deux jours sont repartis avec le désir d’organiser des sorties, de végétaliser la classe, de tenter d’instituer au moins une sortie dans la nature par mois, de faire un jardin et beaucoup de choses encore. Un point sur lequel tout le monde était d’accord c’est le fait que l’activité de découverte de la nature, elle vient du terrain. C’est par les initiatives des uns et des autres à la base que les choses changent. Pour cela il faut juste oser. Cela ne fait aucun doute c’est pour le plus grand bien des enfants et donc de tout le corps social. Ce dimanche, veille de la rentrée S sans laquelle ce stage n’aurait pas eu lieu, était dans sa classe avec son collègue pour terminer ses préparations. Ils ne sont pas les seuls tout les deux à se donner sans compter pour les enfants et depuis des années. Les enseignants sont de plus en plus nombreux à ressentir le besoin de nature des enfants, ils ont capté les effets du syndrome de manque de nature vulgarisé par Richard Louv. Aidons les enseignants à organiser cette éducation à la nature tellement nécessaire comme dit Antonella Verdiani fondatrice du Printemps de l’éducation, faisons que l’éducation à la nature devienne prioritaire dans les programmes scolaires, n’attendons pas.

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49 réactions à cet article    


  • chantecler chantecler 3 septembre 2018 09:54
    Pas la peine de faire de tels articles sur agx aujourd’hui .
    La fachosphère y a pris les commandes et impossible de débattre .
    L’école et les profs , un de leurs sujets historiques de haine de prédilection .

    • Roland Gérard Roland Gérard 3 septembre 2018 10:04

      @chantecler
      je regrette vraiment qu’on ne puisse pas dialoguer, merci à vous


    • ZenZoe ZenZoe 3 septembre 2018 10:05

      @chantecler
      Il faut dire, rien que le titre agace dès le début . Malades du manque de nature, voyez-moi ça ! Comme nombriliste chouineur, difficiel de faire mieux. Et les élèves alors ?

      Sinon, quand on regarde les résultats PISA, on se dit qu’au lieu de se faire plaisir au grand air, les profs devraient mettre le paquet sur d’autres matières. Les gamins sauront bien découvrir la nature tout seuls, ou avec leur parents, ou autrement...


    • chantecler chantecler 3 septembre 2018 10:35

      @ZenZoe

      Dites : à d’autres !
      Faites une recherche sur tous les articles qui ont trait à l’éducation nationale sur agx , y compris la semaine passée , vous verrez défiler une collection de gens haineux qui racontent toujours les mêmes choses , les mêmes fantasmes , les mêmes attaques, la moitié ad hominem, dans un français approximatif que ça en devient insupportable .
      Je me répète dans la palette des haines de l’extrême droite il y a entre autres le dénigrement des fonctionnaires et encore plus celui des enseignants .
      Et ça remonte aux années 1920, 1930 avec une expérience concrète sous l’Etat Français .
      Apparemment il y a des nostalgies indépassables .
      Qui remontent en force à la surface .
      Sans m’étendre davantage ici il y a un article très intéressant dans le Monde diplomatique de septembre où l’on apprend que certaines boites privées , ici en France , qui font payer des frais de scolarisation très importants tout en ayant le culot de salarier les profs par l’état .
      Tout bénéfice .
      Et là ça dépasse tout .

    • ZenZoe ZenZoe 3 septembre 2018 10:51

      @chantecler
      Je ne vous comprends pas. Si on emet une critique contre les profs, on est de l’extrême-droite, c’est bien ça ?
      Quoi qu’il en soit, je persiste et signe. Je pense que l’apprentissage de la nature doit rester une activité extra-scolaire, voire pas scolaire du tout, et que les profs devraient plutôt se préoccuper d’enseigner leur matière correctement au lieu de se mêler de ce qui n’est pas leur domaine.

      Concernant l’article du monde diplo, bien sûr que c’est révoltant !


    • chantecler chantecler 3 septembre 2018 11:08

      @ZenZoe

      Il ne s’agit pas « d’émettre une critique » au passage , contre les profs sur un sujet quelconque pour être facho .
      Non naturellement .
      Sur Agx il y a une clique qui s’exprime de façon haineuse , viscérale , systématique , voire grossière sur tout sujet concernant l’EN et les profs .
      Il n’y a plus débat , il n’y a plus d’échanges .
      Si vous ne me voyez pas ce que je veux dire , cliquez sur les derniers articles et les files de commentaires afférents .
      Hallucinant !

    • ZenZoe ZenZoe 3 septembre 2018 11:33

      @chantecler
      Oui, bien sûr, certains se laissent un peu aller, c’est facile sur internet. Et que l’EN soit une cible, c’est fort possible.
      Mais je serais moins catégorique que vous concernant une appartenance politique. La haine n’est pas réservée à un clan, elle peut se retrouver absolument partout, même chez ceux qui prêchent l’amour de leur prochain, même chez l’extrême-gauche. La haine est avant tout l’affaire d’individus, et je ne collerais aucune étiquette d’emblée.


    • Paul Leleu 3 septembre 2018 11:33

      @chantecler


      bien sûr qu’il y a des hystériques anti-profs sur AV comme ailleurs... c’est assez hallucinant verbalement... mais ça date pas d’aujourd’hui... 

      ils ont l’impression en accusant les « profs » d’avoir trouvé le coupable de tous les problèmes... c’est assez psychanalytique. 

    • Ben Schott 3 septembre 2018 13:00

      @chantecler

       
      « Sur Agx il y a une clique qui s’exprime de façon haineuse , viscérale , systématique , voire grossière sur tout sujet concernant l’EN et les profs »
       
      Tout de suite les grands mots ! Admettons ; mais sur l’Éducation nationale, avouez qu’il y a de quoi, tout de même ! Ensuite, ce n’est pas aux profs, mais certainement à certains profs (une ici en particulier qui livre quotidiennement ses notes bâclées à propos de tout et de rien) que l’on peut adresser quelques griefs.
      Je peux admettre que les profs en général ne sont pas responsables des politiques et programmes successifs de leur ministère de tutelle, et que certains même en sont affligés tout autant qu’impuissants (à mon avis très minoritaires). La plupart de ceux que je connais de ma génération, sont globalement des gens peu formés, à l’intelligence assez moyenne, déconnectés des réalités sociales et surtout préoccupés d’avantage par leur propre parcours que par la mission (ne parlons plus de vocation !) qui leur a été confiée !
       
      Les instituteurs et professeurs que j’ai eus étaient respectés parce que respectables, et avec eux, aucune des « rédactions » quotidiennes de qui vous savez n’aurait eu la moyenne.
       


    • Paul Leleu 3 septembre 2018 14:52

      @Ben Schott

      « La plupart de ceux que je connais de ma génération, sont globalement des gens peu formés, à l’intelligence assez moyenne, déconnectés des réalités sociales et surtout préoccupés d’avantage par leur propre parcours que par la mission (ne parlons plus de vocation !) qui leur a été confiée ! »


      C’est pas les profs que vous décrivez... c’est l’ensemble de la population française... au nom de quoi les profs devraient être des saints ? Au nom de quelle « vocation » ? Alors que les parents eux-mêmes fichent leur progéniture devant des programme télé débiles, bouffent de la merde au supermarché et tiennent des propos d’arriérés mentaux et d’égoïstes ? Facile de tomber sur les profs... ils sont pas pire que le reste de la société (ce qui, je vous l’accorde, ne les place pas très haut). 

    • Paul Leleu 3 septembre 2018 14:54

      @Christ Roi


      c’est vrai qu’une bonne crucifixion, ça fouette le sang... aujourd’hui les gens préfèrent se droguer pour avoir des sensations fortes... 

      la société française de 1914 avait des couilles... et on voit le résultat... on a sacrifiés des millions de gens pour permettre à la racaille de prospérer ensuite... ça donne pas envie de faire des efforts... 

    • Attila Attila 3 septembre 2018 17:00
      @chantecler
      « Pas la peine de faire de tels articles sur agx aujourd’hui .La fachosphère y a pris les commandes et impossible de débattre  »
      «  Je me répète dans la palette des haines de l’extrême droite . . . »
      .
      La fachospère, l’extrême droite, vous parlez évidemment des adorateurs de Mère Nature comme ces Messieurs Philippe Pétain et Adolf Hitler :
      similitudes entre l’écologie et le pétainisme sur la question de la mobilité : « Jeux, modes et masses » du sociologue Paul Yonnet, chapitre sur l’automobile.
      similitude entre le nazisme et l’écologie sur la protection de la Nature et des animaux : « Le nouvel ordre écologique » de Luc Ferry.
      similitude entre le nazisme et l’écologie sur la croyance en la Nature : « Jeunesse et genèse du nazisme », thèse de doctorat d’histoire de Mme Georgette Mouton.

      .

    • chantecler chantecler 3 septembre 2018 17:44

      @Paul Leleu

      Je dirais pathologique et triste .
      Pas la peine d’inviter la psychanalyse ou même la psychologie : un sujet de détestation de plus .

    • chantecler chantecler 3 septembre 2018 17:48

      @Robert Lavigue

      Allez je cherche un peu mais c’est trop facile :
      « de gauche » pour vous c’est socialiste .
      Socialiste c’est national socialiste . (aujourd’hui à droite droite on se revendique social nationaliste : nuance !
      Se faire traiter de fasciste par un Lavigue c’est vraiment poilant .
      Enfin c’est le monde à l’envers .
      Bref tout cela rejoint mon premier commentaire .

    • chantecler chantecler 3 septembre 2018 17:58

      @bébert
      Bref vous ne comprenez rien .


    • mmbbb 3 septembre 2018 18:56

      @chantecler les profs sont des chouineurs , Etant passe sur les bancs de l EN, je n ai pas un tres grand respect pour les profs. Ayant connu des paysans bossant tres dur , je n accepte guere cette nouvelle philosophie ecologique ou seule la contemplation des paysages semblent retenir l attention de ces profs. Il y a desormais l ecologiste des villes et l ecologiste des campagnes. Deux monde a part et inconciliable . Quant a cet auteur, il enseigne l ecologie c est son creneau et son credo Il avait tenu une conference au Maroc me semble t il , les commentateurs « haineux » lui avaient fait remarquer qu il aurait pu organiser une visio conference Mais c ’ est moins bandant , la il y a le voyage , l hotel la piscine le dejeuner . il y a une petition qui circule dans les médias, l appel de grands artistes afin de « sauver la planète » . Idem , ils ont su passer du bon temps ; prendre l avion hotel de luxe ( pas le formule 1 ) etc . C ’est la que la bât blesse, ces hédonistes qui nous appellent a etre « eco responsable » . je ne suis pas haineux mais je n aime pas être pris pour un con, j ai passe l age .


    • mmbbb 3 septembre 2018 22:24

      @chantecler bemol a votre propos je m en tape d etre traite de facho. Je ne vous listerai pas le nombre de censeurs de ce mer dia A ce train je ne pourrai plus accéder a aucun article. Je ne sais pas ou sont reellement les « fachos » . A contrario ces grands auteurs de gauche ces super conscience n apprécient que les thuriféraires, les leches couilles pour ceux qui sont au cafe du commerce, ils ont le couperet facile tres facile , In fine je regretterai pas de ne plus lire ces belles lignes de ces auteurs eclaires. Peu importe lorsque j aurai le temps de retourner a des articles d autres medias et d autres auteurs ( je viens ici un peu par distraction et je suis en travaux chez moi ) , je ne regretterai pas l oeuvre geniale de ces scibouillards . De surcroît ces auteur e s ont un ego surdimensionnée et ils ne s en aperçoivent pas .PS les adorateurs de Melenchon sont peu diserts sur la reussite du Venezuala , Silence radio . Si Merluche passe en 2022 , on risque de regretter Macron. Mais la ne serait ce pas la censure ?


    • Attila Attila 3 septembre 2018 23:32
      @Robert Lavigue
      « Merci de ne pas lui faire de peine et de ne pas le fatiguer avec des références trop savantes »
      J’ai beaucoup reçu de références savantes, je me sens le devoir de rendre . . . à qui voudra bien en profiter.

      .

    • Aristide Aristide 4 septembre 2018 22:23

      @Robert Lavigue


      Badiou !!! Je rajeuni quand je le vois aussi incapable que dans les années 1970 à faire la part des responsabilités du communisme et de ses dirigeants. C’est assez tonifiant de le voir rétablir la vraie vérité sur Lénine et ses copains, Mao et ses sbires, Pol Pot et le kampuchea ... 

    • Francis, agnotologue JL 3 septembre 2018 10:30
      Est-ce que cet article ne relèverait pas par hasard, du service après-vente, de la promotion d’un quelconque rapport lanturlu sur le sujet ?
       
       J’en veux pour preuve la Revue de Presse de ce matin faite par Claude Askolovitch sur France Inter, lequel Askolovitch semblait en filigrane déplorer un engouement nouveau exprimé par les élèves pour l’orthographe (je l’ai vaguement entendu parler de dictée, de quartiers de Marseille ...).
       
      Et aussi le fait qu’il vantait les vertus de la découverte de la nature au grand air.
       
       Qu’est-ce qu’on s’amuse !

      • zygzornifle zygzornifle 3 septembre 2018 11:13

        @JL


         (je l’ai vaguement entendu parler de dictée, de quartiers de Marseille ...).

        Les gosses doivent écrire Kalachnikov, prostituée , tournantes, dealers ,cannabis , planquez vous voila les flics et Mélanchon a un bel appartement avec vue sur la mer le tout sans fautes ....

      • Francis, agnotologue JL 3 septembre 2018 11:32

        @zygzornifle

         
        Mélenchon, avec un e, si ça ne fous fait rien.
         
         smiley

      • Paul Leleu 3 septembre 2018 11:35

        @zygzornifle @ JL 


        en tous cas , cette dictée est assez caustique...  smiley 

      • Passante Passante 3 septembre 2018 11:44
        rédaction pour la semaine prochaine :

        Mélenchon s’offrait une tranquille tournante avec ses amis dealers de cannabis dans son appartement en bord de mer, quand une prostituée débarque avec une kalachnikov...

        Poursuivez le récit.

      • Francis, agnotologue JL 3 septembre 2018 11:54

        @Passante

         
         smiley

      • zygzornifle zygzornifle 3 septembre 2018 16:28

        @JL


         vous avec un v et non un f si ça ne vous fait rien ....

      • zygzornifle zygzornifle 3 septembre 2018 16:30

        @Passante


         elle tire un coup avec le saucisson de Mélenchon ....

      • Francis, agnotologue JL 3 septembre 2018 19:05

        @zygzornifle

         
         smiley


      • zygzornifle zygzornifle 3 septembre 2018 11:08

        en tout cas ils ne sont pas malades par le manque de vacances .....


        Heureusement il leur reste les grèves et les arrêts maladie ...

        • Paul Leleu 3 septembre 2018 11:31

          bon... c’est très mignon les profs qui manquent de petits oiseaux... on devrait ouvrir une communauté, et pourquoi pas une secte avec un gourou... 


          le problème c’est que le système éducatifs des pays n’a jamais eu pour vocation d’émanciper les peuples (faut pas rêver !)... il a pour but de « former le peuple dont l’élite a besoin »... la massification de l’éducation primaire a permis de forger des ouvriers pour l’industrie naissante, à partir de masses paysanes illettrées. Puis le secondaire et le supérieur a permis de suivre les besoins de la division du travail, et l’émergence de la consommation de masse, et l’élaboration de produits plus avancés. 

          Aujourd’hui l’affaissement du niveau ne correspond pas aux « méchants profs 68ards », mais simplement au fait que le système actuel n’a plus besoin de compétences scolaires trop élevées : il faut des consommateur précarisés (et débiles narcissiques). Les ingénieurs, les inventeurs et les ouvriers (sans parler des lettrés) se situent ailleurs dans le monde. 

          • Attila Attila 3 septembre 2018 12:39
            La Nature n’existe pas, c’est une croyance primitive, une croyance religieuse :
            .
            L’idée de la Nature est inconnue des peuples non occidentaux. En occident, elle était inconnue des classes populaires jusque dans les années 1970, c’était une croyance bourgeoise. C’est toujours une croyance religieuse des bourgeois.
            .
            Vouloir imposer le prosélytisme pour la Nature à l’école publique, c’est la transformer en une école confessionnelle.
            L’école publique doit rester laïque !

            .

            • velosolex velosolex 4 septembre 2018 00:18

              @Attila
              Ce n’est pas la nature, mais la paysage qui est une invention. N’importe quel paysage, même le plus sauvage, appartement, porte la main de l’homme ; On le trouve beau quand on l’abat, quand on le domestique, mais avant la forêt, la montagne, c’est le domaine de la peur et du démon. 

              Dans les pays primitifs, les peuplades n’ont pas de mot pour exprimer autrement que par la religion ce qui les entoure, et qu’ils pensent sacrés. C’est une intuition, Mais en ce sens, on s’aperçoit qu’avec leur petite économie de survie, ils avaient cent fois raison. C’est pas le hirondelles qui diraient autre chose.
              C’est au siècle des lumières, en france que la nature devient tout à coup romantique. Avant c’est du domaine de la vacherie : Misère, calamités dans un univers clos. On s’arrange avec la religion pour surmonter la misère, et le progrès vient apporter quelques améliorations. L’invention du licou par exemple qui va doubler les récoltes, par le celui aussi de la force du cheval et du bœuf. 
              Il faut avouer qu’on s’est cru un peu trop main, et qu’ à force d’exploiter cette vieille terre jusqu’au trognon, un méchant coup de grisou se prépare. Quelques illuminés le nient, qui n’ont aucune intuition et aucune écoute au monde. Tous comme les actionnaires, assis sur leur fric..
              Je ne suis pas Marx, ni Jesus. Je n’ai aucune idée de comment on pourra se sortir de ce merdier. Les animaux l’avez vous pas remarqué ont commencé à se suicider. Je ne sais pas si c’est le mot correct, mais c’est de toute façon très mauvais signe, Hulot, ou pas....Sinon « La hulotte » journal auquel j’ai été abonné pendant des années reste une vraie institution, écrit d’ailleurs par un ex instituteur : Érudition, humour.....
              La Hulotte - Le journal le plus lu dans les terriers - journal nature ...

            • Attila Attila 4 septembre 2018 00:50
              @velosolex
              « Ce n’est pas la nature, mais la paysage qui est une invention »
              Affirmation démentie par les recherches sur le terrain de Philippe Descola :

              Vous nous montrez la difficulté de regarder ses propres croyances de manière objective : votre croyance en la Nature ne dit rien aux peuples non occidentaux ni à nous les français des classes populaires jusque vers les années 1970. Vous ne comprenez pas que votre vision de l’Univers -que vous appelez Nature- n’est pas du tout partagée par l’ensemble de l’Humanité.
              D’où l’erreur anthropologique : "Dans les pays primitifs, les peuplades n’ont pas de mot pour exprimer autrement que par la religion ce qui les entoure, et qu’ils pensent sacrés « 
              Vous révélez par cette phrase un »sacré" mépris pour les autres cultures : primitif, peuplades, n’ont pas d’autre mot, exprimer autrement que par la religion. C’est vous qui n’avez pas d’autre mot que la religion pour exprimer ce qui vous entoure : la Nature !
              C’est vous le primitif.

              .


            • velosolex velosolex 4 septembre 2018 22:06

              @Attila
              Vous en dites plus sur vous que sur moi, et sur la nature. 


            • Attila Attila 5 septembre 2018 05:11

              @velosolex
              "Dans les pays primitifs, les peuplades n’ont pas de mot pour exprimer autrement que par la religion ce qui les entoure, et qu’ils pensent sacrés. C’est une intuition, Mais en ce sens, on s’aperçoit qu’avec leur petite économie de survie . . . « 
              Vous ne vous rendez même pas compte de l’effroyable condescendance de vos propos : les peuples non occidentaux, cela concerne aussi la Chine et le Japon. Ce sont des peuplades primitives ?
              Pour leur »petite économie de survie« , l’anthropologue américain Marshall Sahlins avait montré que même les peuples les moins développés n’étaient pas forcément dans la survie. Le titre de son livre est éloquent : »Age de pierre, âge d’abondance« . Leur mode de vie résulte d’un choix collectif, ils auraient pu vivre autrement.
              .
              Votre conception particulière de l’Univers, la Nature, Émile Durkheim a montré dans un ouvrage de référence qu’elle correspondait au principal critère de la pensée religieuse ( »Les formes élémentaire de la vie religieuse", PUF éditeur).

              .


            • velosolex velosolex 5 septembre 2018 14:25

              @Attila
              Je crois que vous cherchez midi à quatorze heures, et que vous avez le sens de la polémique. Mes mots ne sont pas destinés à une thèse, ils sont lancés sur le clavier, comme une conversation que je pensais aimable........ 

              Il n’y a aucune condescendance dans mes propos ; j’ai le plus grand respect des cultures, des modes de vie tribal, de ceux qui parviennent à résister au rouleau compresseur de la modernité, et il est indéniable qu’il faut une grande culture pour y parvenir. C’est à peu près la leçon que tira rapidement Levi- strauss de son contacte avec les indiens d’Amazonie, dans « tristes tropiques » comprenant la subtilité et la grande connaissance de ces hommes. Maintenant on peut orienter encore une fois mes phrases comme on veut. Richelieu disait « Donnez moi dix lignes écrites par un honnête homme, et je me fais fort de trouver dix motifs pour le pendre... »

            • Attila Attila 5 septembre 2018 18:49

              @velosolex
              Vous démontrez surtout que vous avez la tête pleine de tous ces préjugés et ces illusions que l’on retrouve chez les occidentaux lorsqu’ils imaginent les autres cultures du monde. Je ne suis pas sûr que vous ayez vraiment envie de sortir des ces illusions grâce à la lecture d’Émile Durkheim, Philippe Descola, Marshall Sahlins et bien d’autres.
              Je l’ai fait, c’est un voyage exaltant et libérateur.

              .


            • Sozenz 3 septembre 2018 13:33
              Les enseignant.e.s réunis ces deux jours sont repartis avec le désir d’organiser des sorties, de végétaliser la classe, de tenter d’instituer au moins une sortie dans la nature par mois, de faire un jardin et beaucoup de choses encore.

              faire un jardin est une excellente idée ;
              il faut apprendre tous les stades de croissance , apprendre à voir pousser , s en emmerveiller , car il est là le miracle de la vie . apprendre a connaitre les plantes , et ce qui est naturelle dans son quotidien pour se defaire de ce qui est chimique surtout quand on voit la guerre qui est en train de se faire entre les médecines naturelles et la médecine occidentale de la chimie .

              apprendre la nature , c est apprendre à l aimer et de connaitre ses règles , ses symbioses .ses réalités qui ne sont pas toujours douces mais qui sont justes . c est apprendre à transformer son âme , son regard .

              • Montdragon Montdragon 3 septembre 2018 14:14
                L’auteur se plaint de certains commentaires mal venus, soit.
                Il représente en revanche un mouvement de pensée a priori à rebours des aspirations des familles, et cela de plus en plus.
                A priori car recrutés comme étant de gauche, ouverts sur le Monde et égalitaristes à l’extrême en mettant de côté le mérite.
                On ne peut plus se revendiquer populaire si on va contre le peuple, mais ça c’est un débat qui se tient dans le cerveau en ébullition, selon moi en lutte contre le réel.

                • Paul Leleu 3 septembre 2018 15:00

                  @Montdragon


                  mouhais... mais que je vois le « pays réel » se bousculer au supermarché le samedi, et plébiciter la merde américaine dans tous ses choix culturels... j’ai pas un amour particulier pour les profs, ayant quitté ce système « éducatif » sans diplôme. Mais la vie m’a appris que la racaille du dehors ne vaut pas mieux... pas plus en bas qu’en haut... les « familles », comme vous dites, sont les premières à planter leurs mioches devant des programmes télé débiles et abrutissants... alors faut pas s’étonner que les profs fassent le service minimum... et puis, à quoi bon fabriquer des gens éduqués, vu que le rêve des français ordinaires, c’est de « consommer » en ayant un « taf » pour être « liiibre » ??? 

                  encore une fois, je n’ai pas d’amour pour les profs... mais ils me semblent vraiment pas pire que le reste de notre chère société... 

                • Montdragon Montdragon 3 septembre 2018 15:19

                  @Paul Leleu
                  Je suis 100% d’accord avec vous, ce sont des ânes, MAIS ils sont la majorité (et ne comptez pas un glissement de population pour changer ça)..alors comme disait l’autre..que faire ?


                • chantecler chantecler 3 septembre 2018 17:56
                  Oui, enfin dans tout ça je n’ai pas répondu à l’article :
                  si l’on est en manque de nature à Montauban que dire pour les quartiers pourris , les cités béton et leurs écoles de la RP par exemple ... !
                  Et des quartiers périphériques des grandes villes que j’ai aperçus dans mes déplacements mais que je ne connais que peu .
                  NB : Bebert est le dernier des cons , je ne peux même pas écrire troll : j’aimerais voire sa tronche : à mon avis ça ne doit pas pousser à l’euphorie .
                  C’est pathétique .
                  Ce qui ne l’empêche pas de ramener sa fraise ici dès potron minet .
                  Ca donne envie de s’attarder sur le fil .... !

                  • alinea alinea 3 septembre 2018 20:40
                    Sujet délicat qui provoque, chez moi, au moins trois réactions différentes
                    1) Ils s’imaginent quoi les profs, qu’ils vont renverser la vapeur et ramener les minots dans le giron de mère nature ? La civilisation pourquoi pas ?
                    2) Pourvu qu’ils n’y viennent pas tous dans la Nature, parce que ceux qui viennent suffisent à la bousiller. Et même le respect à deux mille pas dans le sous bois, ça tue tout !!
                    3) Oui, c’est la mode depuis une vingtaine d’années, la nature c’est : un terrain de Jeux, ou... un terrain de loisirs. Comme la Nature n’existe plus chez nous, on va parler de campagne, cette campagne qui abrite ou devrait abriter les paysans qui élèveraient et cultiveraient pour nourrir le monde.
                    Alors, les petits enfants qui aiment bien faire mususe avec les boîtes, il faut juste leur donner l’envie, les booster un peu si nécessaire, pour qu’ils deviennent paysans, c’est-à-dire qu’ils vivent dans la campagne, mais pas pour s’y amuser, mais pour y travailler.
                    Et là toute une éducation est à faire pour expliquer que le travail libre et autonome, eh ben c’est bien mieux qu’un travail à la con et quelques heures pour aller faire mumuse dans la campagne.
                    Voyez ?
                    Non ? Je recommence ?

                    • alinea alinea 3 septembre 2018 22:09

                      @bébert

                      la question ne se pose pas:il faut à nouveau des paysans.pas la peine de se tuer à la tâche pour juste ne pas crever de faim, aujourd’hui on peut organiser le travail, faire des scop etc
                      Puisque la terre appartient à celui qui la travaille, on peut changer d’activité si ça nous chante quand ça nous chante, suffit de trouver quelqu’un pour nous remplacer.
                      Comme il s’agit de réparer les sols, on ne travaille plus avec des gros engins qui coûtent un bras ; on se fait un mode de vie aux petits oignons tout en faisant bonne œuvre à nourrir le clampin !
                      Ce n’est pas utopique, il y a en a déjà des tas qui le font, mais pas assez nombreux pour assurer pour tous.

                    • velosolex velosolex 4 septembre 2018 00:02

                      @alinea
                      J’aime bien vos humeurs. Elle sont rafraîchissantes. J’ai taché de rester correcte dans ma réponse, mais au bout du compte la votre me satisfait mieux. 


                    • Passante Passante 4 septembre 2018 09:03

                      @bébert


                      ce changement de paradigme n’est pas une question de volonté(s),
                      il va s’imposer de par lui-même, soit par catastrophe, soit en mode lent - 
                      comment ?

                      par les politiques justement,
                      du simple fait qu’il y a une limite aux capacités de mensonge,
                      c’est une affaire d’épaisseur du politchien pris dans l’étau entre medias et finances...

                      l’écroulement (rapide ou lent) n’est cependant pas aussi noir que tu l’imagines (sauf pour un temps), car les réseaux solidaires reprennent vite en main ce qui s’écroule de sécu, retraites, allocs et autres...

                      je le sais pour avoir vécu en situation de guerre et assisté justement à l’écroulement de bien pire, tout continue, tranquille... (et avec un p’tit sourire amusé, un peu sadique même, on y prend goût : plus un immeuble qui ne soit un projet de gruyère... tu verras, c’est comme une drogue ))

                      bref, c’est simple, zoom out : tu t’inquiètes de l’écroulement d’un mensonge

                    • velosolex velosolex 3 septembre 2018 23:55

                      En lisant en diagonale les remarques, on voit qu’on est hors sujet. 

                      Mais le sujet ne semble pas trop facile à circonscrire. Je précise tout de suite que je n’ai rien à priori contre les profs en général. Encore moins contre la nature. Il est donc question des connexions qui se ferraient pour le grand bien des élèves, si je comprend bien. Beaucoup de bruit pour pas grand chose. La nature est elle devenu une jungle pour que certains soient tétanisés à ce point par un sous bois. . 
                      Une remarque qui me vient. Est il vraiment astucieux de réserver ce genre de stage à des profs. Je vois l’effet fâcheux : le profs racontent leurs histoires de profs et de rectorat, sans vraiment se préoccuper de l’état des arbres et des petites bêtes...Il reste à inventer une réserve de profs vivant dans la nature...
                      .Ai je de la chance mais je vois des stages d’immersion et d’apprentissage qui sont proposés au pékin moyen à deux pas de chez moi. Je suppose qu’il existe ce genre d’initiative ailleurs. 
                      Juste une référence, mais je pourrais vous en trouver d’autres. Des rendez vous citoyens, en quelque sorte. Jamais autant d’amateurs, de clubs, d’associations de défense de la nature, proposant des parcours, des initiations à la journée, pour un prix symbolique souvent. Enfin ouvert à tout le monde, même aux palestiniens et aux plombiers
                      L’effet grégaire « entre collègues », ici de l’éducation nationale, ou d’ailleurs, me semble contre productif...Doit on s’attendre à un prochain article : Les profs malades du manque de musique ?...

                      • Aristide Aristide 4 septembre 2018 22:05

                        Les enseignant.e.s réunis


                        C’est quoi cette écriture inclusive, pfff c’est Les enseignant.e.s réuni.e.s

                        PS : Je chipote, mais ce n’est pas un point simple mais un point central comme cela · : bon c’est Alt et 0183, car absent du clavier.



                        • Ruut Ruut 5 septembre 2018 08:36
                          Rien n’empêche de faire de l’agriculture urbaine comme projet pédagogique.
                          Rien n’empêche d’étudier la nature en zone urbaine.
                          J’avoue ne pas comprendre le problème de ces professeurs.
                          Nous vivons le résultat de nos actions passées.
                          A nous de nous construire un présent radieux.

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