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Les commentaires de Jean Keim



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 08:29

    Voilà qui est bien écrit : « L’étymologie du mot richesse est éclairante car, comme le mot allemand reich, il vient du mot franc riki qui veut dire pouvoir. C’est l’argent qui dirige le monde et, même s’il se déguise en démocratie, chacun peut constater qu’au niveau d’une nation, n’est élu que celui qui peut dépenser ce qu’il faut pour l’être. Les idées comptent beaucoup moins que l’épaisseur du portefeuille qui seul donne accès à toutes les formes de communication. »

    Donc tant que nous serons sous la coupe de l’argent-fric, rien ne pourra changer, seulement l’argent-fric n’a pas toujours existé, et comme l’a dit un sage sachem amérindien, l’argent ne se mange pas.

    Comment inventer une civilisation sans le fric, sans pour autant tomber dans les affres d’un communisme stalinien ; comment faire évoluer nos consciences pour ne serait-ce qu’envisager une société pratiquant la solidarité, c’est-à-dire la collaboration, l’entraide et le partage, une telle société n’aura donc pas besoin de fric, il faudra inventer qq. chose de nouveau pour le remplacer... et ne pas tomber dans le piège qui consiste à chercher dans nos mémoires une solution nouvelle car dans nos mémoires il n’y a que du réchauffé.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 07:58

    Pourquoi se fatiguer à écrire des articles réfléchis et documentés sur un système dont l’objectif est de saper l’économie de notre pays.

    S’il y a un objectif dans tout ce micmac, il ne correspond pas à une volonté bienveillante envers ceux qui par leur travail font, contre vents et marées, tourner la boutique.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 07:44

    Ah nom de nom ! ils la veulent cette saloperie de guerre, vouloir la guerre c’est faire le lit de ceux qui les trament pour engranger des profits pharamineux, c’est donc si compliqué à percevoir, la guerre c’est le degré zéro de l’intelligence.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 07:34

    Un médecin est parfois un technicien qui applique des procédures, il y a souvent plus d’humanité parmi les infirmier-e-s et les aides soignant-e-s, en tout cas c’est ce que j’ai constaté.



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 18:50

    @Géronimo howakhan

    Merci pour le commentaire.

    L’hiver tire ses dernières cartouches, et puis il y a encore les Saints de glace à passer, enfin c’est ce qui se dit... en tout cas en mai on fait ce qui nous plait.



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 16:54

    @Francis, agnotologue

    Oui et Non !

    Les puissants ne sont pas plus les maîtres des horloges que les gens qui sont assujettis à leurs diktats ; quasiment toute notre espèce – dominants comme dominés – est sous la coupe d’un processus mental qui dans les faits est le vrai maître des horloges, c’est lui qui régit l’influence de nos savoirs et donc du temps et de l’espace.



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 09:11

    Au-dessus de toutes les opinions et de toutes les analyses qui vont avec, au-dessus de ce pandémonium, il y a bien quand même un cause première agissante n’est-ce pas !?

    Qu’en pensez-vous ?



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 09:09

    Nous jugeons d’après ce que nous savons, d’après ce que nos savoir induisent de convictions et donc de croyances personnelles, toutes les opinions, toutes les analyses partent de là ; on va me rétorquer que dans un contexte où priment les idées il ne peut en être autrement, seulement en prenons-nous la mesure ? Sommes-nous un tant soit peu conscient des conséquences de ce constat ?

    Que peut-il sortir de bon d’un dialogue où chaque idée avec tout ce qui lui est sous-jacent et l’habille est confrontée à d’autres idées du même acabit ?

    A quoi sert un meeting politique quand par exemple les partis de gauche ou de droite réunissent leurs forces en vue d’une élection, mais où chacun reste accroché à un programme parfois quasiment inexistant et à son leader, et où finalement on assiste à une foire d’empoigne égotique, où le ‘’moi-je’’ occupe toute la scène, à croire que la meilleure place est d’être dans l’opposition, contestataire et révolté.

    Parfois n’avons-nous pas l’impression que tout ce cirque est en fait orchestré pour que rien ne change, tant le statu quo est bon pour ceux qui tiennent les ficelles des marionnettes ?



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 08:38

    Nous jugeons d’après ce que nous savons, d’après ce que nos savoir induisent de convictions et donc de croyances personnelles, toutes les opinions, toutes les analyses partent de là ; on va me rétorquer que dans un contexte où priment les idées il ne peut en être autrement, seulement en prenons-nous la mesure ? Sommes-nous un tant soit peu conscient des conséquences de ce constat ?

    Que peut-il sortir de bon d’un dialogue où chaque idée avec tout ce qui lui est sous-jacent et l’habille est confrontée à d’autres idées du même acabit ?

    A quoi sert un meeting politique quand par exemple les partis de gauche ou de droite réunissent leurs forces en vue d’une élection, mais où chacun reste accroché à un programme parfois quasiment inexistant et à son leader, et où finalement on assiste à une foire d’empoigne égotique, où le ‘’moi-je’’ occupe toute la scène, à croire que la meilleure place est d’être dans l’opposition, contestataire et révolté.

    Parfois j’ai l’impression que tout ce cirque est en fait orchestré pour que rien ne change, tant le statu quo est bon pour ceux qui tiennent les ficelles des marionnettes.



  • Jean Keim Jean Keim 20 avril 09:16

    Au-dessus de toutes les opinions et de toutes les analyses qui vont avec, au-dessus de ce pandémonium, il y a bien quand même un cause première agissante n’est-ce pas !?

    Qu’en pensez-vous ? smiley



  • Jean Keim Jean Keim 20 avril 08:38

    @Hervé Hum

    Quelques questions sur la loi de causalité :

    Selon votre compréhension de la causalité, dans un enchaînement de causes et d’effets, un effet devenant la cause d’un effet suivant, etc., est-il toujours possible de suivre et de remonter les enchaînements ?

    Si on remonte ainsi aussi loin que c’est possible, est-ce qu’il y a (ou aurait) un évènement premier ?

    Toujours selon vous et exprimé différemment, est-il néanmoins possible qu’un effet puisse ne pas avoir une cause le précédent ?

    Dans certains arts martiaux, des ‘’maîtres affirment qu’une action vraie – et non pas une réaction – a lieu sans que la pensée joue un rôle quelconque.



  • Jean Keim Jean Keim 19 avril 21:08

    @Hervé Hum

    Ne tombez pas dans le piège de confondre bien-être et plaisir...



  • Jean Keim Jean Keim 19 avril 21:05

    @Francis, agnotologue

    Les émotions fondamentales, si elles perdurent, induisent généralement plus ou moins rapidement des pensées qui elles-mêmes génèrent des émotions secondaires ou plus exactement des sentiments tels le ressentiment, la jalousie, la fierté, etc.

    La différence entre émotions et sentiments est parfois subtile.

    On peut généraliser : la pensée et ses manifestations sont toujours dans la réaction, une réaction peut être psychologique et/ou physique.



  • Jean Keim Jean Keim 19 avril 18:14

    Beaucoup de citations, trop peut-être, une citation nous expulse à l’extérieur.

    Nous ne voyons que l’extérieur de la mort, tels le gisant, le cercueil, la cérémonie funèbre, la mise en bière puis au tombeau ou l’incinération, les chagrins, etc., la pompe funèbre n’est pas la mort, tout cela n’est que conjurations, la mort est comme la croyance une affaire strictement personnelle, nous pouvons accompagner un mourant mais pas aller au-delà.



  • Jean Keim Jean Keim 19 avril 13:37

    @Francis, agnotologue

    Nous ne sommes pas en phase sur certains points, la belle affaire !

    Je peux me tromper mais sincèrement je ne vois pas où, vos arguments que je respecte sont plus dans l’affirmation avec parfois des référence, mais rien ne vous empêche d’observer en vous même la pensée, le désir, l’intention... les ré-actions qui viennent toujours après, entre une action et une réaction il y a une différence : un intervalle de temps et d’espace ; une pensée pour faire simple précède toujours une réaction.

    Cela n’a rien à voir avec une conviction, je ne pense pas que le vocable ‘’intension’’ s’applique à toute espèce vivante, la pensée est un processus, elle est analysable, elle est donc reproductible ou le sera notamment par les machines, une machine fait ce que lui dicte un programme, d’abord le programme se déroule et ensuite suit la ré-action.



  • Jean Keim Jean Keim 19 avril 09:48

    @Hervé Hum

    << Maintenant, si vous cherchez à savoir qui précède qui en tant que cause première, alors, la seule chose que l’on peut dire est que l’intention (donner sens à l’existant) préexiste à la pensée, mais ne peut exister que par la pensée via le principe de causalité et lui seul. Il y a donc consubstantialité ou intrication qu’est toute relation de causalité.‘ >>

    Je cherche essentiellement ce qui fait qu’une vie humaine est une suite incessante de mal-être voire de souffrances, la poule et son œuf sont une simple curiosité intellectuelle.

    J’ai écrit à Francis agnotologue :

    « Les pointures officielles de la philo me barbent, je crois (et donc je pense) mordicus que ce qui nous permettra de sortir de notre bourbier et de la civilisation inhumaine qui en découle ne se fera pas sans la perception (c’est plus que comprendre) du rôle délétère que joue individuellement chacun de nos modes de penser. Nous avons en nous tout ce qui faut pour cela, le penser peut être observé non pas par un retour de savoir (machin a dit que...), mais simplement par l’attention, pas facile quand la pensée bat la campagne, ce qui est le lot de tout un chacun et notamment mon cas.

    La pensée engendre l’intention et le désir, on ne peut pas désirer qq, chose, on ne peut pas avoir l’intention de faire qq. chose, si on ne connaît pas la chose en question, la pensée manifeste ce qu’elle connaît. La pensée est toute dans la ré-action, parfois une action surgit avant une pensée qui s’en emparera très vite par la suite, cette action ne peut donc pas être le fait d’un désir, ni d’une intention. »



  • Jean Keim Jean Keim 19 avril 09:04

    @Francis, agnotologue

    Pourtant l’échange est intéressant...

    J’ai lu un tout petit peu Spinoza et j’ai tout oublié, les pointures officielles de la philo me barbent, je crois (et donc je pense) mordicus que ce qui nous permettra de sortir de notre bourbier et de la civilisation inhumaine qui en découle ne se fera pas sans la perception (c’est plus que comprendre) du rôle délétère que joue individuellement chacun de nos modes de penser.

    Nous avons en nous tout ce qui faut pour cela, le penser peut être observé non pas par un retour de savoir (machin a dit que...), mais simplement par l’attention, pas facile quand la pensée bat la campagne, ce qui est le lot de tout un chacun et notamment mon cas.

    La pensée engendre l’intention et le désir, on ne peut pas désirer qq, chose, on ne peut pas avoir l’intention de faire qq. chose, si on ne connaît pas la chose en question, la pensée manifeste ce qu’elle connaît.

    La pensée est toute dans la ré-action, parfois une action surgit avant une pensée qui s’en emparera très vite par la suite, cette action ne peut donc pas être le fait d’un désir, ni d’une intention.



  • Jean Keim Jean Keim 18 avril 20:52

    @Francis, agnotologue

    << Sur ce sujet de l’enchaînement des pensées, il est connu que l’intention précède la pensée, laquelle n’est que le moyen d’exprimer et ou satisfaire cette intention. Nous sommes mus par nos intentions. Mais une pensée née d’une intention consciente ou pas, peut elle-même faire naitre une intention. >>

    Tiens ça c’est curieux ! Une intention n’est pas un acte, cependant elle ne naît pas de rien, il me semble donc que la pensée précède une intention, par exemple je passe devant la vitrine d’une pâtisserie, je pourrais passer mon chemin, mais vient la pensée que j’aime les tartelettes, la pensée crée l’intention de manger un gâteau etc.



  • Jean Keim Jean Keim 18 avril 09:45

    Le principe de causalité s’applique notamment aux pensées et à leurs enchaînements, une pensée en entraînant une autre. La causalité et la pensée finalement sont chacune un processus, elles sont dans la réaction, mais peut-il exister une action sans au préalable une manifestation de la pensée ?



  • Jean Keim Jean Keim 18 avril 07:31

    @Francis, agnotologue

    << On nous a menti, à nous les médecins et au public. Le gouvernement s’est laissé dicté n’importe quoi par les experts. Il faut que nous demandions des comptes au responsables. » >>

    Et

    << Où et qui sont les responsables ? >>

    Tous les médecins n’ont pas été abusés, les plus clairvoyants, y compris ceux qui passant outre les consignes officielles, soignaient en leur âme et conscience et avaient de bons résultats, ont été mis au banc par leurs confrères qui restaient soumis à l’opinion dominante verrouillée et au conseil de l’ordre.

    Tout le monde peut mettre des noms, par exemple pour beaucoup leur médecin généraliste référent, une fois qu’une liste sera établie, on fait quoi ? On puni ?

    Il y a une formidable leçon à tirer des événements covid, et une remise en cause de la médecine, un médecin doit-il être un technicien procédurier ou un homme avisé et d’expérience ?