Le bon nègre est celui qui a bien appris la leçon du libéralisme, qui s’y est adapté et a réussi, peu ou prou, a gravir quelques échelons de notre société.
La bonne petite beurette est celle qui a bien travaillé à l’école, a gravi les échelons et a réussi à être avocate, par exemple ( je ne parle pas de Dati !, là, c’est autre chose).
Le petit gars du peuple, pour réussir, il doit bien travailler à l’école, bien se mouler aux dogmes néo-libéraux, pour pouvoir se hisser...le plus haut possible : mais alors ? Appartient-il encore au peuple ?
Réussir, dans ce monde, c’est de toutes façons trahir le peuple.
Pour que le peuple ait le pouvoir, il faut vraiment jeter complétement le libéralisme. Tout le reste n’est que blabla.