« En Ukraine, ces propos ont été qualifiés comme étant choquants et offensants. »
C’est Londres et à Washington qui sont scandalisés.
L’Ukraine avait accepté de signer le traité de paix d’Istambul au début de l’opération spéciale, et c’est Boris Johnson qui est venu en personne pour l’empêcher perce qu’il prévoyait le renoncement définitif à l’installation des bases de l’OTAN.