Une chanson douce que me chantait ma maman.
En fait nous
sommes ici au cœur de l’idéologie libérale où les puissances financières
(dis-nous d’où vient ta puissance et ta légitimité ?) décident du
développement des technologies (d’une puissance et dans une accélération jamais
vues) en même temps que de leurs usages dont ils nous rendent dépendants en
nous les imposant comme incontournables. Usages se substituant aux autres
usages que l’on fait ou tente de faire disparaître ou que nous pourrions
souhaiter. Avec comme critère central la rentabilité la plus élevée pour un
groupe d’actionnaires de plus en plus concentré, ce qui induit toute sorte d’impacts
sociaux, politiques et environnementaux non évoqués dans un premier temps. Qui
finissent par faire l’objet de régulation du genre devant le fait accompli. Que
leurs représentants politiques nous présentent comme un progrès et la démonstration
de leur efficacité et sens des responsabilités.Nous en connaissons tous un, bien représentatif de ces puissances qui est venu nous expliquer qu’il venait enfin de découvrir la planification.
La première
étape consiste à identifier le cercle vicieux et son fonctionnement puis à se
rassembler pour prendre les commandes et en sortir.
Et c’est là
que viennent ceux qui nous expliquent que ce n’est pas possible parce que bla
bla bla...