Bonjour, Aristide
Votre commentaire est incompréhensible : concerné de près ou de loin, voire pas concerné du tout, (quasiment) personne n’a aujourd’hui un rapport à la problématique du tourisme de masse identique à celui d’il y a 10 ans, et a fortiori 20 ou 30 ans.
Et pourquoi parler de « prise de conscience écolo-bobo » ? Tout le monde évolue, toutes catégories sociales confondues, ou peu s’en faut.
Enfin, écrire « à géométrie variable » est spécieux : là encore, la majorité des personnes — vous et moi confondus — sont, à l’exception des radicalisés et des intégristes, écolos mais pas trop, en pratique plus ou moins attentifs à certains aspects de la protection de l’environnement !