Les miséreux ne quittent pas leurs contrées, ils n’ont pas les ressources tant matérielles que psychologiques.
Il faut beaucoup de courage, d’énergie, de volonté et également des moyens pécuniaires pour quitter son pays, appâté par les mensonges mirifiques que ailleurs, là-bas, tout sera plus facile, les migrants sont finalement les victimes d’une organisations de salopards sans aucun scrupule, pour qui la vie n’a aucune valeur.
Ceux qui viennent chercher le rêve dans des pays dits riches peuvent être également être vus comme les forces vives qui feront défaut à leur pays d’origine.