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charly10 30 mai 2023 12:38

La question n’est pas d’épiloguer sur un monde avec ou sans croissance, mais de prendre du recul et redevenir pragmatique, et d’arrêter l’alarmisme sur l’évolution climatique dispensé par des organismes paranos climatiques.

Se référer à une étude d’Oxfam ne peut pas être gage de vérité ni même de qualité des travaux. Oxfam comme toutes les ONG et associations militantes sont par nature partisanes, leurs études, comme celles du Giec d’ailleurs sont bien trop subjectives, trop orientées vers le concept de culpabilité anthropique.

En matière de climat, prétendre savoir quels seront les paramètres de température globales de notre planète a échéance de 20, 30, ou50 ans est une véritable imposture.

Les modèles utilisés par les « experts »climat, intègrent la plupart des paramètres  qu’emploient nos météorologues équipés d’ordinateurs de plus en plus performants. Les météorologistes essaient de mettre en équation un ensemble fondamentalement chaotique qu’est la circulation des masses d’air dans la troposphère ; mais à ce jour ils ne peuvent prévoir le temps au mieux qu’a 10 jours, et encore !..

Il n’existe pas un climat unique sur notre planète, mais plusieurs zones climatiques dont les interactions, sont parfois très aléatoires. L’exemple du phénomène el Nino sur la zone pacifique est assez représentatif.

L’élévation de température observée depuis le début du 20 -ème siècle, est attribuée par une doxa scientifique aux activités humaines, principalement via rejets CO2 fossiles. Mais, on ne maitrise que très partiellement les valeurs réelles des échanges entre les éléments rejets et réabsorption par les puits de CO2. Des tableaux sur le cycle du carbone, existent sur certains sites et dans les rapports GIEC, mais les valeurs indiquées ne sont que des valeurs extrapolées par calculs bruts, très peu réactualisées et pour cause, et de plus très difficiles à vérifier dans la réalité.

« Tant que l’on ne connaîtra pas mieux l’importance relative des différents mécanismes d’absorption du CO2 anthropique, il demeurera difficile de quantifier les incertitudes liées aux projections futures du CO2 atmosphérique » (voir le Rapport GIEC AR5 du Groupe de travail n°1 : chapitres 9 et 10 qui traitent des effets potentiels de ces processus sur le cycle du carbone)

 


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