La question n’est pas d’épiloguer sur un monde avec ou sans
croissance, mais de prendre du recul et redevenir pragmatique, et d’arrêter l’alarmisme sur l’évolution climatique dispensé par des organismes paranos climatiques.
Se référer à une étude d’Oxfam ne peut pas être gage de
vérité ni même de qualité des travaux. Oxfam comme toutes les ONG et
associations militantes sont par nature partisanes, leurs études, comme celles du Giec d’ailleurs
sont bien trop subjectives, trop orientées
vers le concept de culpabilité
anthropique.
En matière de climat, prétendre savoir quels seront les paramètres de
température globales de notre planète a échéance de 20, 30, ou50 ans est une
véritable imposture.
Les modèles utilisés par les « experts »climat,
intègrent la plupart des paramètres
qu’emploient nos météorologues
équipés d’ordinateurs de plus en plus performants.
Les météorologistes essaient de mettre en équation un ensemble fondamentalement
chaotique qu’est la circulation des masses d’air dans la troposphère ; mais à ce jour ils ne peuvent prévoir le
temps au mieux qu’a 10 jours, et encore !..
Il n’existe pas un climat unique sur notre planète, mais
plusieurs zones climatiques dont les interactions, sont parfois très
aléatoires. L’exemple du phénomène el Nino sur la zone pacifique est assez
représentatif.
L’élévation de température observée depuis le début du 20 -ème
siècle, est attribuée par une doxa scientifique aux activités humaines, principalement
via rejets CO2 fossiles. Mais, on ne maitrise que très partiellement les
valeurs réelles des échanges entre les éléments rejets et réabsorption par les
puits de CO2. Des tableaux sur le cycle du carbone, existent sur certains sites
et dans les rapports GIEC, mais les
valeurs indiquées ne sont que des valeurs extrapolées par calculs bruts, très
peu réactualisées et pour cause, et de plus très difficiles à vérifier dans la
réalité.
« Tant que l’on ne connaîtra pas mieux l’importance relative des
différents mécanismes d’absorption du CO2 anthropique, il demeurera difficile
de quantifier les incertitudes liées aux projections futures du CO2
atmosphérique » (voir le Rapport GIEC AR5 du Groupe de travail n°1 :
chapitres 9 et 10 qui traitent des effets potentiels de ces processus sur le
cycle du carbone)