Bonjour @Rosemar,
"En fait, quand vous commencez à rechercher la performance et
l’efficience à tout prix, cette manière-là, cela produit des situations
inhumaines dans tous les coins, partout. Et personne n’est responsable
puisque c’est un dispositif. C’est une question d’idéologie,
profondément.«
Parfois, c’est bien d’assumer, aussi ! Parce que tant que l’électeur ébloui rempile en toute inconséquence pour les mêmes psychopathes qui n’hésitent pas à l’éborgner, le mutiler, le bâillonner, le confiner, l’injecter, l’ »emmerder« , le réprimer et le soumettre, voyez-vous honnêtement quelque bonne raison que les truands qui nous gouvernent changent de méthodes pour adoucir leurs manières ???
Mais tout n’est néanmoins pas noir en ce monde cruel et il reste quelques motifs d’espoir quand, grâce à la très »progressiste« , néo-libérale et quelque peu »transhumaniste« conquête du »droit à mourir dans la dignité« , il sera bientôt légalement possible d’abréger la durée des maltraitances et soulager d’autant le »pognon de dingue« affecté par la sécurité sociale à l’entretien de nos surnuméraires.
»Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? quand on l’approuve et qu’on y souscrit, quoique ce soit avec répugnance."
Histoire des variations des Églises protestantes (1688) - Jacques Bénigne Bossuet