@Géronimo howakhan
Salut
Content de t’imaginer en forme. J’aime quand mon petit-fils se réfugie dans son monde. Celui de sa vie avant langage, qui sait ? Ce que je sens alors, c’est que les mots risquent entériner un clivage arbitraire de l’extérieur, comme si une sphère avait des faces. Clivage qui nous cache qu’on ne peut être à la fois dans et hors de soi.
Ce que dit @Francis évoque à @Clocel Lao-Tseu, mais on peut aussi écouter A.Henrion-Caude évoquer chez Bercoff ses échanges avec ses collègues chercheurs : elle leur demande si on peut sincèrement exercer leur activité et croire au chaos créateur.