Ce retour de Th.Breton au premier plan, quel cauchemar ! Il faut pourtant se rendre à l’évidence : ce fossoyeur n’avait pas fini le travail.
Soloviev a écrit ce petit texte à la fin de son existence humaine. Normal, à mes yeux d’ancien, qu’il rejette l’idée d’une humanité future enfermée dans le confort matériel.