On en revient toujours à la lutte des classes. Si on considère notre époque, on ne peut que constater que seule la version des nantis et des bien-placés est donnée, et malheureusement gobée toute crue par ceux même qui devraient s’en méfier.
Parallèlement, si la manipulation des esprits ne suffit pas, la police de la pensée est là pour museler les voix discordantes et contestataires (on active alors les cases fake news, nocivité des réseaux sociaux, lois liberticides et condamnations pour calmer les esprits)...