@Décroissant
merci pour ces liens.
Dans le deuxième, on lit ceci : « ..., avec les hausses récentes et
spectaculaires du prix du gaz (dues en partie à la guerre en Ukraine et à
la fermeture d’une partie du parc nucléaire français), il ne semble
plus acceptable que des énergéticiens dont les coûts de production n’ont
pas augmenté (car ils produisent avec autre chose que du gaz) vendent
l’électricité à des prix bien plus élevés qu’auparavant (1.000 euros le
mégawattheure le 26 août, contre 85 euros un an plus tôt). »
— >
Super-profits donc mais aussi et surtout : profits indus.
L’article se poursuit :
« A noter toutefois que le président
français ne parle pas de taxe mais bien de contribution. Quelle
différence ? La contribution est indexée sur le chiffre d’affaires, la
taxe sur les bénéfices. Et seuls les énergéticiens seraient concernés
par le mécanisme européen. Sauvé donc l’armateur de porte-conteneurs
français CMA-CGM. »
— >
Prélever sur les super-profits ou sur les profits indus ? La conclusion soulignée par moi ci-dessus en gras me parait à l’envers du bon sens puisque si je comprends bien, c’est le contraire que l’on observe : la contribution pénaliserait l’augmentation légitime du CA, et épargnerait relativement les super-profits indus des énergéticiens !