@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
Je vous remercie de poster ce genre d’informations.
Lorsque l’on aura compris qu’il y a une corrélation très étroite entre survenue des maladies respiratoires hivernales et pollution atmosphérique, alors seulement il sera possible de discuter de « l’isolement » des virus qui n’est qu’une escroquerie. Les vésicules extra cellulaires sortiront enfin du bois.
... « Des chercheurs du CNRS et de l’INSERM ont établi une corrélation quasi linéaire entre pollution aux particules fines et mortalité liée à la covid-19. Publiée dans la revue « Science of the Total Environment », cette étude lance un nouveau pavé dans la marre de l’inaction du gouvernement en matière de gestion de la qualité de l’air. »...
https://www.caducee.net/actualite-medicale/15840/la-pollution-de-l-air-aux-particules-fines-augmenterait-la-mortalite-due-a-la-covid-19.html
On sait peut-être enfin pourquoi en France, les grandes agglomérations de l’ouest ont été relativement épargnées par les décès liés aux formes graves de la Covid-19 comparativement à des villes comme Paris ou Milan. Selon Jean-Baptiste Renard, directeur de recherche au CNRS et co-responsable de l’étude interrogé par Le Monde « ce sont les villes les plus polluées qui ont connu les taux de mortalité les plus élevés ». Ainsi des villes comme Bordeaux ou Brest auraient été relativement protégées grâce à l’influence océanique et aux vents d’ouest qui réduisent le niveau d’exposition de leur habitant à la pollution aux particules fines.
Si le lien entre pollution atmosphérique et pic de mortalité liée à la Covid-19 a été déjà été observé, c’est la première fois qu’une étude quantifie avec autant de précision la corrélation entre les deux phénomènes.