L’acceptation des différences où plutôt l’effort d’acceptation des différences ne peut étre supporter que dans des sociètés d’abondance ou de paix séculaire.
Or ceux qui veulent abolir les différences nous vendent également la sobriété et l’acceptation d’une existence précaire en surtension bien qu’ils ne voudraient pour rien au monde vivre ce qu’ils préconisent aux autres pour espérer donner corps à leur propre vision des choses.
Les individus qui ont un besoin vicéral de faire le bien sont les produits d’une société en manque de répères où le sentiment de dévalorisation dans un environnement dominé par la paraitre et l’immédiat les pousse à s’inventer des combats en tout genre qu’ils estiment nobles pour soulager leurs souffrances et peu importe les effets collatérales que provoque ces envies de bonne intention sans considération pour la complexité du réel qu’ils sont en incapacité d’appréhender.