Rebonjour Gilbert Gosseyn,
Je n’ai de la poésie de Villon que des souvenirs d’école, forcement lointains...mais je crois que notre prof de français avait omis quelques détails...
En réponse au commentaire de ZenZoe, malheureusement (mais c’est encore une autre question, car heureusement, la douleur, ou crise profonde, sert au moins a la creation) oui, « ce qu’il faut de sanglots pour un air de guitare »...