@Rincevent
Vous avez raison.
Et Mauriac avait parfois la dent dure.
En témoigne cette anecdote datant des années 1960.
Daniel-Rops était un écrivain qui avait trouvé un bon filon. Catholique, il avait de grands succès de librairie chez les catholiques, notamment un « bestseller » sur Jésus. Lors d’une réception littéraire, Mauriac s’approche de Mme Daniel-Rops, caresse son luxueux vison en disant : « doux Jésus ».