Au musée de l’Ermitage, à Saint-Pétersbourg, il y a une équipe de chats, dotée d’un budget et de fonctionnaires prenant soin d’eux. Cette équipe est chargée de réguler la population de rats et souris qui pourraient endommager les œuvres.
Voilà qui ne va pas plaire à Rosemar : une bonne initiative russe et, pour comble, dans la ville natale de Poutine. .
Il n’en reste pas moins que ma grand-mère, des années 1910 à 1940, a attelé des chiens en région parisienne, pour transporter ce qu’elle récoltait. À moins que ma mère m’ait raconté des craques, ce que je n’imagine pas, n’y voyant pas de raison.
J’en déduis que la répression, malgré une loi formelle, n’était pas féroce, la gent policière de l’époque comprenant la nécessité d’utiliser certains moyens, ne nuisant pas aux autres, pour sortir de la pauvreté.
Au contraire, maintenant, la chasse aux pauvres est largement ouverte, surtout en cette époque préolympique.