je ne crois pas que le bon moustachu sétois m’ait tenu rigueur de cet emprunt.
Si on ne peut remettre en cause l’absence de rigueur de Brassens, il me semble tout de même que le pastiche exige la surprise et surtout l’humour, la distance…
Sans vouloir vous vexer, le dernier couplet est assez affligeant :
Toi le Macron quand tu mourras,
Quand le croque mort t’emporteras,
Qu’il te conduise corps et âme
Griller dans les flammes.