Il me rappelle un ivre de Michel Bussi que j’aime bien lire, qui a un peu ce genre de réflexions et dont j’ai écrit le billet avec le même titre : Tout ce qui est sur terre doit périr
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.