Il
arrivait souvent,dans la même famille, que les grands parents soient
à l’Union des Vieux de "France, le père cotisant à la CNL
(Confédération National du Logement), la mère bénévole ou
bénéficiaire au Secours populaire et sympathisante des Femmes
françaises... sans oublier les grands qui s’entraînaient à la FSGT
….. Cette liste n’est pas exhaustive ."
Il
s’agissait d’une sorte de monde à part, dans lequel l’utopie n’était
pas absente, même si les idéologues officiels du centralisme
démocratique faisaient du « matérialisme historique » la
référence à toutes choses :
-
la
FSGT avait ses propres méthodes pégagogiques (pour le ski en
particulier, fondées sur l’acquisition d’un technique par la
résolution d’une difficulté sur le tterrain et non pas par
l’imitation de gestes appris.
-
Travail
et Culture frisait en permanence l’« illusion du spontanéisme »
et de la « révolution culturelle ».
-
Tourisme
et Travail développait un type d’« animation » prônant
l’action culturelle et l’émancipation tout en organisant les
loisirs et les jeux, notions réputées incompatibles chez les
philosophes classiques.
Comme
le chantait Trénet :
"Que
reste-t-il de nos amours
Que
reste-t-il de ces beaux jours
Une
photo, vieille photo
De
ma jeunesse "