Eh oui, dommage que les moyens d’expressions passent des urnes vers la rue, d’un bulletin de vote aux casses de magasins et prises d’otages avec les grèves.
Pour l’expression directe par les citoyens sur les principaux sujets qui impactent notre vie (puisque désormais les politiques et décideurs de tous poils vont à contre sens de l’équité et du bon sens), mais pas par la violence. Il y a tellement de possibilités avec les moyens modernes numériques : c’est ce combat qu’il faut mener pour imposer l’expression calme de la volonté des citoyens (les grandes tendances souhaitées), puis une obligation des gestionnaires élus de suivre ces grandes orientations dans leur gestion détaillée au quotidien. Sinon, exit pour eux (droit de révocation)