@Lynwec
Remarquez, en oubliant le coté moral, c’est peut-être un moindre mal, parce que si ces « élites » n’avaient pas un moyen de décharger leurs névroses¹, ils pourraient prendre des décisions encore plus néfastes pour les « riens ».
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1 J’utilise le mot névroses, parce qu’à mon sens, il faut être névrosés pour avoir envie de diriger ses semblables ou d’être le plus riche du cimetière (on n’a jamais vu un coffre-fort suivre un corbillard).