Le travail ne doit pas être l’instrument de l’appropriation de l’homme par l’homme.
Le travail doit être valorisé comme l’activité qui permet d’accéder à l’autonomie, à la satisfaction de ses besoins et à la solidarité avec les plus faibles.
Le travail, vu comme instrument de l’appropriation de l’homme par l’homme, crée une sorte de droit de tirage illimité sur la personne du salarié jusqu’à ce qu’épuisement ou mort s’ensuive. Ce n’est pas là une conception digne et humaniste du travail.