@Mozart
Les russes n’avaient qu’à couper le robinet et en lieu et place ils seraient venus sous le nez des dispositifs de surveillance de l’OTAN (sur zone dans les heures ayant précédées le sabotage) dynamiter leur ouvrage pour s’interdire de changer d’avis et se priver d’un possible instrument de chantage énergétique ? Ridicule.
Par contre la Suède qui refuse de divulguer les résultats de l’enquête (y compris aux Allemands directement concernés) et les soupçons légitimes pesant sur le Royaume Uni ou la Pologne (qui avaient autant que les USA les motivations pour le faire) ne comptent pas, j’imagine.
Le refus de la Suède implique nécessairement que c’est un membre de l’OTAN, les ukrainiens ne pouvant avoir fait l’opération.
C’est tout ce que les russes ont besoin de savoir et que tous les membres de l’U.E. refusent de regarder en face.